L'été est toujours propice à la réflexion, enfin en ce qui me concerne, je prends un peu le temps de poser les choses, pour parler de sujets différents du reste de l'année.
Ce n'est pas pour autant de la théorie, plutôt une volonté d'explorer de manière un peu plus approfondie l'actualité du moment.
Cet été, ce cheminement m'a amené à réfléchir sur 3 sujets, principalement.
Le storytelling du Brexit, d'abord. Pas pour analyser la communication pré-électorale, ça ne sert plus à rien. Non : c'est le storytelling d'après, et son incohérence, ses raccourcis qui m'ont interpellé.
J'ai ensuite été frappé, et ce n'est pas sans liens avec le storytelling du Brexit, par un phénomène que je nommerais, faute d'avoir trouvé d'autre appellation, le storytelling de la vitesse. Course à la vitesse de la parole, en dépit du bon sens, et du sens tout court.
Directement issu de mes vacances, je termine par un storytelling d'Italie. Ce pas une réflexion sur la finesse du sable des plages, mais sur les leçons que ce qui nous semble archaïque dans certains pays, peut en fait être tout à fait salutaire et source de progrès.