Life in Technicolor monte en puissance dans un
Reprise rythmée de Lost avec une lancinante présence de « Tokatokatoc ! », sans doute une
Le nostalgique 42, piano et cordes vocales pour lancer la deuxième partie en percussions et raclements instrumentaux, comme un éclatement paroxystique, cymbales en furie, guitares débridées, touches appuyées… La boucle finale, pour
Le voyage s’approfondit au Soleil levant : Lovers in Japan. Du sentimental à plein nez. Mon imperméabilité à l’anglais m’ouvre les plus abyssaux vagabondages… Cette superposition, à l’infini, de sons entremêlés, s’enfonçant dans le silence harmonieux, porteur, comme transition vers la phase apaisante du morceau à tiroirs.
Les violons prennent le relais pour une coloration enthousiaste : Viva la Vida propose l’éclatement merveilleux des sons, comme un printemps prometteur, résolument optimiste, chargé de projets, quelles que soient les embûches. Poursuivre, y croire d’un cœur vaillant, malgré la fin cadavérique.
Violet Hill sonne comme une sentence : l’insouciance ne peut résister aux
Strawberry Swing invite à la ronde chaleureuse d’une
Death And All His Friends centre sur l’essentiel. Ce message, repris en puissance par les instruments en rythmiques et en relief décisif pour nous faire rejoindre la figure multigéométrique de l’embrasé Coldplay. Ainsi nous quitte-t-il, que pour quelques instants pour retirer la moelle mirifique du cœur mélodieux. Jusqu’au prochain départ, à l’effleurement d’une touche qui de source coule : PLAY !