2 Pas tant que moi. Quand, par Nelly Pilou (c’est la bonne), j’entends parler de ces festivités, je me précipite chez ma femme, que je trouve étendue sur son sofa – le fameux sofa d’Hélène –, lunettes au bout du nez, livre à la main, crayon entre les dents : – Hélène, quelle idée ! Nous nous entendons bien, n’est-ce pas ? Sans lever les yeux, elle murmure, comme pour elle-même : – Oui. – Es-tu heureuse avec moi ?
2 Pas tant que moi. Quand, par Nelly Pilou (c’est la bonne), j’entends parler de ces festivités, je me précipite chez ma femme, que je trouve étendue sur son sofa – le fameux sofa d’Hélène –, lunettes au bout du nez, livre à la main, crayon entre les dents : – Hélène, quelle idée ! Nous nous entendons bien, n’est-ce pas ? Sans lever les yeux, elle murmure, comme pour elle-même : – Oui. – Es-tu heureuse avec moi ?