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Légèreté de façade, décorum de façade, inanité de façade, insouciance, peccadille, distraction, vacuité, enfantillage…de façade…La proposition artistique consisterai à habillé (rhabillé) pour l’hiver la façade Renaissance de la Maison Henri II. Un habillage pop, ludique et coloré, proche de l’enfance qui interroge et mêle passé et modernité…Se soulignant/révélant l’un et l’autre…pour être, peut être, et comme le dit Nietzsche parlant des grecs de l’antiquité, « superficiels… par profondeur. Cela demande la résolution de rester bravement à la surface, de s’en tenir à la draperie, à l’épiderme, d’adorer l’apparence et de croire à la forme, aux sons, aux mots, à tout l’Olympe de l’apparence ». … l’apparence ? L’essence de toute chose… ? A suivre…