Quoi qu’on écrive tout est futile emporté
Dans le grand courant, laissez-les faire à leur guise
Dans une grande explosion
Tous les humains du monde
Qu’ils deviennent des graillons noircis
Et qu’ils meurent tous dit-elle,
fixant un point de ses yeux vides
Du fond de ses yeux, sans fin, les larmes coulaient
Moi incapable
de rien dire en silence je pleurais
Shinoe Shôda
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