Ambiance fantastique pour une femme hier soir ! Les compliments pleuvaient de tous côtés. Le romantisme éthéré était de mise. J’ai eu envie de me mettre des fleurs dans les cheveux et de relire tout Chateaubriand (enfin lire…).
Je me suis senti pousser des ailes…. Même si bien sûr, la plupart ne m’étaient pas adressés !
Sauf celui de Jaade, et comme c’était trop mignon, on a fini par ne se parler que par compliments interposés ! Un très bon moyen de communication.
A la question : l’art du compliment est-il perdu ? Je vous réponds que non, définitivement non.
Peut-être même que l’art de faire la cour n’a pas été totalement jeté aux oubliettes, vu les compliments fleuves et poétiques, que j’ai eu l’occasion de lire pendant la soirée.
Je fais un gros clin d’oeil à Cwicket qui a écrit, non pas un compliment mais toute une lettre, d’une sincérité touchante. Sa seule lecture m’a réellement émue.
Samuel, un petit nouveau, parlait d’ange et même si je suis un peu allergique à la guimauve, celui était joli parce que simple. En plus tout blond qu’il est, Samuel ressemble vraiment à un ange.
Pfiouuu avait, pour sa part, retransmis, un compliment-poème, qu’il avait déjà reçu… et messieurs, dames, croyez moi, elle devait être folle de lui !
Même si Nono m’a serré le cœur avec son « tu me manques », (parce que finalement, on a pas besoin d’entendre autre chose, ça veut tout dire), ça n’est pas assez pour remporter un passeport de bien-être !
Même si, donc : Je déclare Arnyboot, un frais émoulu de Come in my World, grand gagnant d’hier soir, parce que à la réflexion, ce compliment qu’il a eu le plaisir de recevoir un jour, en dit bien plus qu’il n’y paraît : « Tu ne ressembles à personne ».
Je l’interprète comme « je t’aime pour ce que tu es, tu n’as pas besoin de changer quoi que ce soit, je t’aime comme tu es avec ton originalité ». Est-il nécessaire d’ajouter un quelconque commentaire ?