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Selon Amnesty International, le Sommet de l’ONU sur les réfugiés est un échec lamentable, les dirigeants mondiaux ont reporté à 2018 toute possibilité d’accord.
Alors que l'on assiste à une recrudescence des combats au Soudan du Sud, un nouveau rapport révèle l'horreur vécue par les civils aux mains des forces gouvernementales au lendemain de l'accord de paix signé en août 2015.
A Alep en Syrie, il faut soulager avec une assistance humanitaire les souffrances de milliers de civils qui vont bientôt manquer de nourriture et d’autres produits de première nécessité.
En Indonésie 14 condamnés à mort ont été fusillés par un peloton d’exécution.
Dans le Territoire du Nord, en Australie, des images montrent des enfants autochtones en détention soumis aux gaz lacrymogènes, également la tête recouverte d'une cagoule et attaché à une chaise d'immobilisation.
La répression de la société civile et les atteintes à la liberté des médias sont parvenues à un niveau inquiétant et sans précédent en Turquie.
En République démocratique du Congo, six jeunes militants ont été libérés à la faveur d’une grâce présidentielle le 26 juillet 2016.
Au Yémen, les restrictions à la distribution d’une aide vitale aux civils exacerbent la crise humanitaire dans ce pays et mettent des vies en danger.
Des militants d'Amnesty International ont déposé devant le Comité organisateur local des Jeux olympiques 40 housses mortuaires, représentant le nombre de personnes tuées par la police en mai 2016 à Rio de Janeiro. Une action similaire a également eu lieu devant l'ambassade du Brésil à Bruxelles, en Belgique.