Ferdinand Brun, 83 ans, solitaire, bougon, acariâtre – certains diraient : seul, aigri, méchant -, s’ennuie à ne pas mourir. Son unique passe-temps ? Eviter une armada de voisines aux cheveux couleur pêche, lavande ou abricot. Son plus grand plaisir ? Rendre chèvre la concierge, Mme Suarez, qui joue les petits chefs dans la résidence. Mais lorsque sa chienne prend la poudre d’escampette, le vieil homme perd définitivement goût à la vie… jusqu’au jour où une fillette précoce et une mamie geek de 93 ans forcent littéralement sa porte, et son coeur.
Un livre drôle et rafraîchissant, bon pour le moral, et une véritable cure de bonne humeur !
Mon avis :
Des personnages attachants bien que pas toujours crédibles. Juliette par exemple a du mal à être réaliste à mes yeux. Cependant, l’histoire est jolie, attachante sur bien des aspects.
L’auteur aime bien faire subir des changements radicaux à ses personnages.
J’y retrouve ce que j’aime dans la littérature de Barbara Constantine : Des personnages qu’on aimerait connaitre, dans un lieu où on aimerait vivre.
On retrouve dans ce genre de roman, la solidarité, l’entraide et l’amitié qui font de plus en plus cruellement défaut à notre vie.