Il se trouve donc que j’ai choisi de faire une coupure à l’exact moment où l’actualité le nécessitait le plus. Je me suis ainsi vu miraculeusement protégé des déclarations intempestives toutes plus grotesques les unes que les autres des personnalités politiques de petit calibre et de grande médiocrité, comme pour seuls exemples, celles de ces deux ladres :
Le hasard fait bien les choses… Plutôt que d’assister au spectacle désolant d’un chaos médiatique aussi hallucinant qu’halluciné et amoral, sous la probable emprise de ce produit si stupéfiant qu’est l’émotion, et son corollaire politique obligé, le tout sécuritaire et ses mesures martiales pour seule réponse à un profil minable, je me livrais à de plus saines activités militantes consacrées au logement des plus humbles, dans d’autres régions. Bien m’en a pris. La liste de tout ce à quoi j’ai échappé est en effet terriblement impressionnante… Aussi, puisque les pires trolls de l’actu ne sont plus sur les réseaux sociaux mais à présent dans votre paysage politique, surtout, ne les nourrissez pas, pour qu’ils ne prennent plus autant d’ampleur… #onvautmieuxqueça. Dans ces conditions, la plus juste contribution journalistique ne devrait-elle pas ressembler à cela ? :
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