Il y a quelques temps, Hervé Kabla, disait, au sujet du mort par intelligence artificielle de Tesla, que c'était dans l'ordre des choses, qu'il était bien de mourir pour le progrès du progrès.
Je ne suis pas sûr que cette idée soit massivement partagée. On ne désire plus souffrir, ou voir souffrir, pour le progrès, du moins pour le progrès technologique. Est-ce la société qui est devenue peureuse ? Ou lucide ? Ou encore est-ce le progrès qui est, maintenant, incapable de générer un rêve d'une qualité telle que l'on désire mourir pour lui ?