Salut les petits gars,
Si vous me suivez sur les réseaux sociaux vous avez déjà vu fleurir quelques petites infos à propos de Garorock, sur twitter je me plaignais de mes coups de soleil en postant des photos de biafine, quand sur instagram je postais une photo canon du festival en disant ô combien j’ai kiffé mon petit moment là bas. Alors que sur Snapchat je vous ai complètement emmené avec moi, pendant trois jours, mains dans la mains, c’est limite si vous sentiez pas autant le sable dans vos poumons que moi pendant les pogos. Enfin, les réseaux c’est bien sympas mais il fallait un debrief digne de ce nom sur le blog !
Garorock c’est un festival qui se trouve dans le sud est de la France, à Marmande. C’est paumé comme lieu mais du coup on peut faire tout le bruit qu’on veut. Le camping est géant, et si tu te dépêche de choisir ta place tu peux même t’installer sur les aires de jeux (une tite balancoire en guise de chaise c’est plutôt un kiff). C’est la deuxième année que je fais ce festival et je vous avoue que je l’aime beaucoup. C’est un peu comme une réunion de famille où je meurs d’envie d’aller à chaque fois. Parce que la bas tout le monde est gentil, tout le monde il est beau (mais genre vraiment beau, les gens pétille). En plus niveau musique y’en a pour tout les gouts, il y a un coin électro, le « Garoclub », une scène « découvertes » avec des artistes un peu moins connu ou pas très connu à l’international (c’est l’une des meilleures scène du coup), la scène du Trec, et deux grosses scène où se joue une selection d’artistes des plus chouette, dont rien que le nom, ne mentons pas, nous fait rêver, la scène Garonne et la scène de la Plaine.
Cette année c’était la 20eme édition de ce petit festival qui n’est plus si petit que ça maintenant. Garorock 20 c’était complètement fou, laissez moi vous raconter en quelques mots.. Entre The Kills qui m’ont mis des étoiles dans les yeux, les Casseur Flowters qui m’ont redonné la pêche quand mes pieds ne voulait qu’une chose c’était me conduire droit à la tente.. Et Deluxe dont le technicien a mis le feu au publique, (tout le monde faisait les même juste gestes que lui, le moment de gloire de l’homme de l’ombre) avant que le concert commence, concert qui était complètement dingue d’ailleurs, et placé direct dans mon top 3 de ce Garorock 2016. Puis Caravan Palace qui a été un délice tant pour les oreilles que pour les yeux.. Et enfin Yelawolf, mon rêve qui est devenu réalité. Si j’avais bien une chose à faire avant de mourir c’était le voir en concert, et je peux maintenant rayer ça de ma liste (bien que je pense avoir a écrire « voir Yelawolf une deuxième fois » tellement c’était fou). En bref, Garorock 2016 ça a été des danses endiablés executé par des corps suant de bonheur jusqu’a pas d’heure, des cris à 1h, 16h, 8h, hurlant à la lune des « APEROOOOO » dans des tonalités vocales plus que dérangeante, un Garopoubelle qui a été exécuté par les campeurs le dimanche soir et qui fu magique, des coups de soleil ne formant qu’un sur tout le corps, laissant un « bronzage » vanille-fraise des plus sophistiqués, des salades de pâtes à gogo, de la vodka dans des bouteilles d’eau ce qui donnait lieu à des désir de rafraichissement suivi d’un dégout profond à 8h du matin (je vous assure boire une gorgé de vodka quand on crève de soif au reveil.. ça vous change un homme), des déguisements tous plus spéciaux les uns que les autres, mais qui méritaient du respect pour ceux qui les portaient vu la chaleur ambiante, des débats pains au chocolat/chocolatine dans la foule, et bien sur des concerts qui faisait pétiller les coeurs… Garorock, c’était le feu, j’aurai pas rêvé mieux.
Quoi de mieux que de vous montrer de beaux souvenirs en image ? Je vous laisse avec une petite vidéo que j’ai réalisé de mes potes, des concerts, des rires, des sourires et du festival.
Et vous alors, des festoches prévu cet été? Vous connaissiez Garorock?
La bise !