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Recapitulation des commentaires sur les ONDES GRAVITATIONNELLES

Publié le 07 juillet 2016 par 000111aaa

Il s’avère difficile de suivre les réponses de mes lecteurs  quand la liste des commentaires (sur les ONDES GRAVITATIONNELLES  ou  L EXPANSION DE L ESPACE TEMPS)  s’allonge  .Je n’arrive pas à suivre la logique de rangement  de l  OBS   et j’ai donc mis la trentaine en ordre chronologique  car les raisonnements s’enchainent mieux sur deux  suites de dialogue 

1°/ DIALOGUE  JEAN JACK MICALEF ( ,JJM )/NOLATS /OH  

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ET QUE PENSE JJM DES ONDES GRAVITATIONNELLES????

Écrit par : olivier le jeudi 23 juin 2016 à 19h51

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JJM a toujours pensé qu’avant de se questionner sur les ondes gravitationnelles il fallait s’interroger sur la nature mécanique c.à.d la CAUSE de la gravitation. Dans mon article 322 (http://positioncritiqueastrophysique.blogs.nouvelobs.com/) j’ai présenté la gravitation comme résultant d’une force de pression exercée par l’espace-substance qui fonctionnait comme un effet d’écran entre deux corps à l’identique de l’effet Casimir.

Cet effet d’écran explique pourquoi la gravitation ne dépend pas seulement de la masse absolue mais aussi de la densité de celle-ci. A mon sens le lien de gravitation ne peut se transmettre sous forme d’ondes, il s’établit durablement.

Maintenant, tout corps astral se déplaçant dans l’espace de prématière peut mettre en mouvement celui-ci sous forme d’ondes, mais cela n’a rien à voir avec des ondes gravitationnelles, lesquelles, dans ma conception de la gravitation, n’existent pas.

Bien à vous

JJM

Écrit par : jean jack le jeudi 23 juin 2016 à 21h12

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JJ, dans votre modèle, la "rigidité" de la substance de l'espace est-elle absolue, ou ne peut-il exister une certaine capacité de déformation permettant la propagation de différence de "pression" gravitationnelle?

Écrit par : nolats le mardi 28 juin 2016 à 17h18

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Grand merci pour votre réponse JJM …. Mais à votre rappel de l’effet CASIMIR je préférerais moi le rappel de l’effet de pression de la loi de HOOKE , que vous connaissez surement aussi

bien à vous

Écrit par : olivier le vendredi 24 juin 2016 à 08h01

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J'avoue ne pas voir d'applications pour la loi de Hooke, en matière de pression de gravitation, il n'y a pas d'élasticité ni de déformation des matériaux..

Bien à vous

JJM

Écrit par : jean jack le vendredi 24 juin 2016 à 11h13

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1) Désolé JF Nolats, mais j'avais sauté votre questionnement n'ayant vu que la réponse d'Olivier. La substance de l'espace est rigide en ce qu'elle ne se compose pas d'éléments pouvant se densifier comme pour la matière. Mais sa déformation s'effectue sous forme d'ondes EM.

2) Olivier, je crois que vous avez mal saisi le sens de ma démarche. Je cherche à COMPLETER l'approche mathématique par une description mécanique de la gravitation et ne m'oppose pas à l'espace-temps d'Einstein qui est un formalisme sans contenu physique. Mon dernier article sur mon bloc, dans sa grande simplicité, est assez clair sur mon approche d'une physique explicative qui semble délaissée par beaucoup (http://positioncritiqueastrophysique.blogs.nouvelobs.com/)

Cordialement

JJM

Écrit par : jean jack le mercredi 29 juin 2016 à 09h37

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Vous avez raison JJM la loi de HOOKE ne peut vous servir a rien dans la mesure ou vous niez l’expansion de l’Espace-temps et son élasticité....

Excusez-moi

bien a vous

Écrit par : olivier le samedi 25 juin 2016 à 08h02

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NE VOUS DESOLEZ PAS JJM :je lis tous vos blogs et je vois vos intentions d’explication

CORDIALEMENT.

Écrit par : olivier le mercredi 29 juin 2016 à 10h30

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2°/DIALOGUE   DOMINIQUE MAREAU /NOLATS/OH

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Pour moi, cher Olivier, les ondes gravitationnelles relèvent du phénomène général de perturbation. Or, ontologiquement, la gravitation n'est rien d'autre que la délocalisation originelle des paires électron-positrons, auparavant liées en mode tachyon. Le ratio : EM / G = 10^42, se vérifie aisément sur une paire électron-positron. Il représente exactement le carré du taux de délocalisation (R BEC / longueur Compton = 10^21).

Cet événement originel ne relève pas de la notion de perturbation et ne laisse donc pas de traces autres que celles liées aux différents ratios de type macro/micro. Parmi ces ratios il y a également celui-ci : masse de Planck / masse électron = 10^21. Tous ces éléments sont mesurables et extrêmement cohérents.

Le lien d'Einstein avec l'espace-temps ? Il est direct puisque ce dernier est le résultat du tissu de tachyons qui oscillent par couches, dans un BEC.

Je rappel ici comment on passe du 1 D (ODT = oscillateur-dual-tachyon) au 4D :

A : la synchronisation permet aux ODT de former des couches régulières 2D.

B : le lien axial en vitesse tachyon, au point zéro central, permet une isométrie entre voisin direct tangentiel et l'intervalle couche. Autrement dit la vitesse c entre intervalle tangentielle est strictement le résultat d'un aller-retour au centre par l'onde tachyon. Cela veut dire que le 3D n'existe que par la dualité de vitesses (tachyon / photon). La synchronisation générale donne donc la 4eme dimension : c × t. Autrement dit la fameuse dualité onde/corpuscule n'est rien d'autre que le reflet de la dualité (plus fondamentale) des vitesses.

Tout ceci est vérifié par les phénomènes suivants : l'effondrement de la fonction d'onde, l'effet tunnel, la double fente et l'intrication du spin (action fantôme non pas instantanée mais à vitesse tachyon) qui ne sont que des facettes de la dualité de vitesse.

Allez, un dernier mot sur le fameux seuil de décohérence : on considère généralement cela comme un mystère.... Pourquoi au delà d'une certaine taille, un objet perd cette faculté de posséder la dualité onde/corpuscule ou dualité de vitesse ? Pourquoi l'image miroir (tachyon) d'une particule devient fixe (reste à la même place) ? La réponse revient au mot-clé employé au début de ce commentaire ; la perturbation. En fait, statistiquement, le lien cristallin d'un corps macro (lié à un certain nombre) déclenche le phénomène d'auto-perturbation. Le réseau cristallin apporte une certaine désynchronisation qui fait office de perturbation généralisée. Cependant, sous certaines conditions, des phonons apparaissent et permettent la supraconductivité.

Mais au fait, pourquoi : perturber = localité ou inversement pourquoi non perturbé = non localité ?

Tout simplement parce que tout est fait de paires électron-positrons qui ne sont fondamentalement que des oscillateur-tachyons, dont la longueur de Compton est celle du BEC (10^21 m). C'est la fameuse constante ML ! Quand L est grand (10^21 m) seul le spin est lié puisque ontologiquement il appartient au tachyon. Dans ce cas M est d'autant réduit. Oui mais dans l'effet tunnel on a bien l'apparition (légèrement délocalisée) de l'énergie de la particule ? Oui et cela vient du fait que le tissu de tachyon contient des "ondes de perturbation" qui permettent de compléter l'énergie de matérialisation. Ces ondes de perturbation" expliquent également l'oscillation entre saveur, des neutrinos.

Un dernier mot sur l'effondrement de la fonction d'onde et de la notion d'amplitude. Schrödinger considère cela sous l'angle (prudent) de la statistique. Il parle "d'amplitude de probabilité". Comme BOHM je vois cela comme une amplitude de type spatial, liée à la dualité des vitesses. En fait, l'espace comme comme les particules, ont un parent commun, les tachyons. L'espace est granuleux car il est quantifié par l'intervalle moyen (non perturbé) entre tachyons.

Il faut en finir avec cet espace 3D qui sortirait magiquement du chapeau ! Il convient d'en justifier son ontologie, pas à pas.

Encore une fois il faut dire et redire (avec MAGNAN) que l'éternité – et son corolaire infini et zéro – ne concerne que les nombres et surtout pas l'expression de la physique. Cependant, l'état stochastique est tel qu'il n'exprime la physique que par zéro et qu'à ce titre, il est éternel. Mais dans ce contexte où le temps ne s'exprime pas, le sens du mot "éternité" devient particulier. Le seul et unique débouché à cette situation sans écoulement de temps, vient des statistiques : la probabilité de synchronisation de l'état stochastique n'est plus nulle ! Mieux elle devient inéluctable !! D'où le BEC primordial, sa saturation-mitose-expansion et donc la naissance de cet univers éphémère.... où l'entropie augmente........

Écrit par : Dominique le dimanche 26 juin 2016 à 10h05

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10 puissance 21 est donc le nombre-dieu!

Écrit par : nolats le mardi 28 juin 2016 à 17h13

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Je comprends votre humour mais ce nombre est élu par le pur hasard et non par je ne sais quel Dieu.

Le détail est simple : la fusion des points zéro revient à synchroniser les valeurs physiques aléatoires des tachyons stochastiques, en établissant la moyenne arithmétique. Il apparait donc un ratio naturel entre la longueur d'amplitude spatiale (le rayon du BEC) et la taille moyenne du tachyon. On montre que ce ratio est 10^42 (10^21)² soit celui qui existe entre la force EM et la force G sur une paire électron-positron. Le lien entre les deux est démontré.

Cordialement

Écrit par : Dominique le mardi 28 juin 2016 à 18h08

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En me relisant j'ai corrigé : "Je rappelle". Où ai-je la tête? Mille excuses.

Écrit par : Dominique le dimanche 26 juin 2016 à 12h31

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voilà un aspect plus " distancié" que d’habitude des propriétés du modèle OSCAR que vous nous présentez là , cher DOMINIQUE ET JE VOUS EN REMERCIE VIVEMENT

Écrit par : olivier le dimanche 26 juin 2016 à 19h33

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Char Olivier, mon repos de 3 semaines m'a inspiré et me fait dire notamment ceci :

1) l'anomalie du moment magnétique dont on sait qu'elle est proportionnelle à l'anomalie de masse d'une particule quantique, représente un ratio de l'ordre de 1% pour l'électron.

2) cette anomalie est la trace indirecte de la perturbation du réseau de tachyon (particules virtuelles).

3) Cette trace peut se voir comme le ressort de rappel vers l'état onde de la dite particule quand elle se trouve dans l'état corpusculaire.

4/ livrée à elle-même (non perturbée) elle occupe d'un coup (10^-21 s) tout le BEC.

5) à la moindre perturbation externe, elle retrouve dans le même temps son état replié. Elle représente un paquet d'ondes qui s'effondre comme le dit l'équation de Schrödinger mais sans préciser que le temps de cet effondrement est indépendant de la position dans le BEC.

Le modèle oscar dit que les paires électron-positrons sont des tachyons saturés-séparés qui se comportent comme......des tachyons à l'échelle du BEC (état onde) où comme une particule limitée à sa longueur d'onde de Compton (état particule).

Bien à vous

Écrit par : Dominique le mercredi 29 juin 2016 à 16h50

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Bonjour Dominique, vous écrivez "elle occupe d'un coup (10^-21 s) tout le BEC", pouvez-vous préciser ce que représente 10 puissance moins 21 s ?

Écrit par : nolats le jeudi 30 juin 2016 à 21h08

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Oui c'est cela. Pour être encore plus clair, je dirais que quand on mesure la masse d'un électron, on mesure sa masse .... fonction de sa (petite) longueur de Compton. Ce n'est pas enseigné comme cela mais la preuve est là : ML (électron) = h /c = m(Planck) × l(Planck) = plusieurs autres..... On vérifie bien qu'il s'agit d'une constante. Donc, la baisse de M amène obligatoirement la montée de L (tachyon) et donc la dualité des vitesses est liée à celle de l'échelle quantique/subquantique. Par d'autres voies et notamment celle du BEC primordial synchronisé, on vérifie que l'oscillateur tachyon (dual) matérialise l'espace-temps et la la matière.

Écrit par : Dominique le mercredi 06 juillet 2016 à 08h51

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Cher Dominique, voilà qui donne le vertige, de concevoir que ce qui nous parait le plus "concret", c'est à dire l'objet massique, ne soit qu'un assemblage de vibrations momentanément confinées. Mais rationnellement parlant, quelque part ça rassure de "tenir" une explication plausible de la matière ex vacuo (...ou ex premateria)

Écrit par : nolats le mercredi 06 juillet 2016 à 10h07

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C'est le temps propre de l'électron (1.28 × 10^-21 s) . La clé de la notion fondamentale onde/corpuscule, respecte la constante ML*. Elle est la suivante :

1/ Un électron perturbé (observé mais pas seulement) est dans son état corpusculaire et sa masse M oscille (radialement pas en rotation) sur sa longueur de Compton L = 3.86 × 10^-13 m. Le temps de ce trajet est largement connu : L / c = 1.28 × 10^-21 s.

2/ un électron non perturbé occupe tour le BEC (1.42 × 10^21 m). Mais la constante ML implique que M soit divisé par le ratio des longueurs d'oscillation.

Le retour à la localité se fait toujours dans le temps 1.28 × 10^-21 s. Ce n'est pas instantané comme le laisse supposé l'équation de Schrödinger. En fait, elle ne dit rien à ce sujet et on se sert de son incomplétude pour affirmer des bêtises.

La dualité onde-corpuscule implique une dualité de vitesse et donc le tissu de tachyons subquantiques. Cependant, il y d'autres indices forts qui vont dans ce sens.

Bien à vous.

* c'est l'objet de ma publication

Écrit par : Dominique le vendredi 01 juillet 2016 à 07h58

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Merci Dominique, je ne sais pas si cela rejoint la théorie académique, mais cette explication onde / corpuscule correspond à quelque chose de concret, ce qui est agréable pour l'esprit. Il me reste un blocage psychologique -que j'avais déjà mentionné- sur les échelles de taille, entre l'infiniment petit (Compton) et l'infiniment grand (taille BEC), le fait qu'une entité particulaire balaie une grande partie de la largeur de l'univers. Chacun participe à la trame de l'ensemble.

Écrit par : nolats le vendredi 01 juillet 2016 à 10h33

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En fait, à cette échelle, on ne peut selon moi que parler du moment 1D (ML) plutôt que de L ou M séparément. Quand on mesure la masse d'un électron, elle correspond implicitement à L (Compton) qui est sa taille corpusculaire. Amusez-vous à vérifier que le ML de Planck est égal au ML de l'électron. Quand il est photon, la masse "disparait" parce que ce ML s'annule avec celui du tachyon sous-jacent car il sont strictement égaux.

Écrit par : Dominique le vendredi 01 juillet 2016 à 13h00

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Et je rappelle que le modèle standard considère également le produit ML de l'électron comme constant puisqu'il construit la charge élémentaire, selon : e² = f(ML).

Ce n'est pas trivial car c'est une des clés du fonctionnement du tachyon dual où e² est le vecteur qui maintient les deux entités opposées. La charge est ainsi le reflet exact de chaque ML en vis à vis.

Alors quand la paire électron-positron s'annihile, il ne reste plus que deux photons... sans masse et sans charge.... apparente. En réalité cela forme une entité faite de 4 éléments car chaque photon est apparié avec un tachyon. L'ex électron oscille avec un tachyon + dont le ML s'annule parfaitement avec le ML de l'électron. L'ex positron oscille avec un tachyon – dont le ML s'annule également. Mais l'ensemble est lié (via le BEC) et les deux spins 1/2 s'ajoutent pour former un spin entier. Si on arrive à nouveau à les séparer, ils reformeront une paire électron-positron.

La disparition soudaine de la masse est juste le témoin de du fonctionnement du tachyon dual. Ce témoin est transverse puisqu'il agit entre le quantique et le subquantique.

La dualité onde/corpuscule pourrait s'appeler dualité tachyon-électron.

Écrit par : Dominique le samedi 02 juillet 2016 à 07h55

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Dominique peut-on parler de ML du tachyon, sa masse étant imaginaire il faudrait que L ait aussi une composante imaginaire pour que le produit "équilibre" le ML de l'électron ou du positron apparié?

Écrit par : nolats le lundi 04 juillet 2016 à 19h44

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Cher nolats, la masse du tachyon (dans son référentiel) est un scalaire qui ne saurait donc avoir un signe. Cependant – selon oscar, à cette échelle – la notion de masse n'existe pas au sens classique. Elle est une entité inséparable de sa longueur de Compton. C'est ML ou rien. Donc dans un oscillateur dual, les deux L son algébriquement opposés ce qui donne un signe opposé à chacun des produits ML.

Ensuite il y a en effet, la notion d'oscillateur transverse où par exemple un tachyon + est apparié à un électron :

  1. a) dans l'état corpusculaire, (M grand et L petit) le tachyon apparaît sous forme de perturbation (sous forme d'anomalie moment magnétique ou sous forme d'habillage virtuel) ;
  2. b) dans l'état onde, le tachyon domine mais doté de la perturbation de l'électron apparié. Il passe en même temps dans les deux fentes de Young. L'observer, revient à un transfert d'énergie qui donc ne saurait dépasser la vitesse c. La dualité onde/corpuscule n'est qu'une facette de la DUALITE fondamentale de l'univers. Elle trahit la dualité quantique/subquantique et la dualité des vitesses (photon/tachyon). L'effet tunnel est juste l'effet d'une synchronisation heuristique partielle, se déclarant à l'échelle macroscopique. Cette synchronisation annule sporadiquement l'auto perturbation lié au réseau cristallin. Cette auto perturbation est ce qui maintient l'état corpusculaire d'un réseau cristallin. Dans de rares cas, la décohérence quantique s'annule en partie, c'est l'effet tunnel. Statistiquement, la déportation macroscopique possède une probabilité non nulle. Cependant, sa ré-matérialisation supraluminique réclame l'énergie d' une onde de perturbation providentielle pour compenser. Cela ressemble énormément à l'oscillation de saveur des neutrinos. Mais dans ce cas, l'onde de perturbation incidente est une résonance fondamentale qui pré-existe dans le tissu subquantique (dans l'espace-temps). Cette onde résonante est lié aux 2 (dualité) nombres de complexions, liés au logarithme naturel du (grand) nombre de tachyons dans l'univers. Merci à ce grand monsieur qu'était Boltzmann et dont certains psychorigides parmi ses pairs, ont précipité son suicide.

Bien à vous

Écrit par : Dominique le mardi 05 juillet 2016 à 08h37

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Dominique, doit-on comprendre alors, dans ce modèle, que la masse n'est pas une caractéristique intrinsèque, mais un "effet" de la grandeur ML lorsque l'entité est en état corpuscule?

Écrit par : nolats le mardi 05 juillet 2016 à 15h08

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Cher Olivier, concernant la question de l'"inflation" de l'univers, j'ai aussi un blocage psychologique. Ou plutôt sur le fait que les ondes issues du supposé big bang seraient resté bien sagement sur place en attendant que l'univers gonfle, puis ensuite auraient galopé (à la vitesse de la lumière) pour parcourir l'espace ouvert devant elles. Alors que la matière pour sa part aurait suivi l'inflation, se serait combiné en étoiles et planètes aux confins de l'univers, et nous serions là en tant qu'observateur pour "voir" la lumière des origines -et toutes ondes de l'évènement primordial- qui opportunément arrivent du diable vauvert juste maintenant sous nos yeux.

Écrit par : nolats le vendredi 01 juillet 2016 à 10h48

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Je tiens à souligner que la vitesse de l’inflation de l’espace immédiatement aprés le BIG BANG ,calculée suivant ses auteurs ( essentiellement ANDREI LINDE et ses fans ) est infiniment supérieure à celle des tachyons ou des créations de BECS de D .MAREAU (10puissance 10 puissance 6 pour le facteur d'expansion en 10 puissance -54 seconde ) et que cette hypothèse me laisse aussi mal à l’aise que vous cher NOLATS ;;;EN CLAIR il ne faut pas aller faire appel à des tachyons pour l’expliquer ........LINDE d’ailleurs ne semble pas faire cas de la" non localité" au sens quantique .....

Écrit par : olivier le vendredi 01 juillet 2016 à 12h15

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Vous "épurez" vos explications DOMINIQUE sur l " l’univers tachyonique" et vous lui donnez plus de " corpus pédagogique " ......TANT MIEUX ET MERCI

Écrit par : olivier le samedi 02 juillet 2016 à 0

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