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Il était un rêve de Liz Braswell

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

⭐ Il était un rêve de Liz Braswell

Il était un rêve Liz BraswellNombre de pages : 272
Éditeur : Hachette Romans
Date de sortie : 8 juin 2016
Collection : Hors-série
Langue :  Français
ISBN-10:  2012205771
ISBN-13:  978-2012205772
Prix Éditeur : 15,90€
Disponible sur Liseuse : Non

Son résumé :

Aurore a été adoptée par Maléfique après que ses parents se sont débarrassés d’elle quand elle était petite. Aurore vit à l’intérieur du château de Maléfique, couvert de ronces, avec des serviteurs zélés qui la surveillent. Mais un jour, un troubadour lui glisse une plume d’oiseau bleu : il existe donc des êtres vivants, dehors ! Aurore se met à douter de l’honnêteté de Maléfique à son égard. Elle s’enfuit du château et découvre qu’à l’extérieur, le monde est beau et bien vivant. Elle retrouve le prince Philippe qui lui raconte leur histoire. Les souvenirs d’Aurore reviennent petit à petit. Elle comprend que Maléfique la maintient prisonnière en la gardant endormie et en contrôlant ses rêves. Une nouvelle quête commence pour Philippe et Aurore qui doivent à nouveau terrasser Maléfique pour se libérer et réveiller leurs sujets avant que la méchante sorcière ne les extermine tous durant leur sommeil.

Mon Avis :

La couverture et le résumé me faisaient rêver…Je ne vais pas dire que je suis tombée de haut, mais un peu quand même.

Alors déjà autant vous prévenir, j’ai personnellement pris ce roman comme un roman comique, sinon je n’aurais tout simplement pas pu le finir. Pourquoi ? Car Aurore est niaise à un point pas permis ! Elle passe son enfance en haillons jusqu’à ce que Maléfique la sauve de ses méchants parents et enferme le château dans une forêt de ronces, pour le sauver de la destruction. A partir de là le temps se répète : ils vivent tous bien gentiment, Maléfique s’affaiblit, un petit bal et elle revient comme si elle n’avait jamais vieilli (ah et puis aussi, les personnes qui contestent son pouvoir disparaissent mystérieusement). Mais Aurore ne se met à douter que lorsque les fées du dessin animé lui envoient des indices. Heureusement, elle a parfois des sursauts d’intelligence où elle s’interroge alors sur le monde autour d’elle et ce qu’elle est au monde.

Autre problème : j’ai trouvé Maléfique sans substance aucune et c’est bien dommage car c’est selon moi un personnage complexe et très intéressant. Au contraire, le prince charmant a été très bien traité : drôle, il n’est pas pour autant stupide. J’ai adoré ses petites réflexions telles que « On est vraiment sûrs que le dragon est mort là ? Quelqu’un est allé vérifier ? » ou encore « C’est une femme dans un corps de dragon ou un dragon dans un corps de femmes en fait ? ». C’est vraiment ce qui m’a aidée à voir ce roman comme comique et donc à l’apprécier malgré les nombreuses maladresses.

Car oui, des maladresses il y en a à la pelle ! L’écriture est simple, il y a peu de descriptions, au point que j’avais parfois l’impression de lire du théâtre. Les personnages sont assez fades et le tout est parfois brouillon. Toutefois, je dois reconnaitre que j’ai beaucoup aimé le twist concernant Aurore, et la réécriture du conte en elle-même, c’était très original.

En somme ? Un livre à prendre à la rigolade pour apprécier cette réécriture de la Belle au Bois Dormant.

Bon

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⭐ Il était un rêve de Liz Braswell

Il était un rêve Liz BraswellNombre de pages : 272
Éditeur : Hachette Romans
Date de sortie : 8 juin 2016
Collection : Hors-série
Langue :  Français
ISBN-10:  2012205771
ISBN-13:  978-2012205772
Prix Éditeur : 15,90€
Disponible sur Liseuse : Non

Son résumé :

Aurore a été adoptée par Maléfique après que ses parents se sont débarrassés d’elle quand elle était petite. Aurore vit à l’intérieur du château de Maléfique, couvert de ronces, avec des serviteurs zélés qui la surveillent. Mais un jour, un troubadour lui glisse une plume d’oiseau bleu : il existe donc des êtres vivants, dehors ! Aurore se met à douter de l’honnêteté de Maléfique à son égard. Elle s’enfuit du château et découvre qu’à l’extérieur, le monde est beau et bien vivant. Elle retrouve le prince Philippe qui lui raconte leur histoire. Les souvenirs d’Aurore reviennent petit à petit. Elle comprend que Maléfique la maintient prisonnière en la gardant endormie et en contrôlant ses rêves. Une nouvelle quête commence pour Philippe et Aurore qui doivent à nouveau terrasser Maléfique pour se libérer et réveiller leurs sujets avant que la méchante sorcière ne les extermine tous durant leur sommeil.

Mon Avis :

La couverture et le résumé me faisaient rêver…Je ne vais pas dire que je suis tombée de haut, mais un peu quand même.

Alors déjà autant vous prévenir, j’ai personnellement pris ce roman comme un roman comique, sinon je n’aurais tout simplement pas pu le finir. Pourquoi ? Car Aurore est niaise à un point pas permis ! Elle passe son enfance en haillons jusqu’à ce que Maléfique la sauve de ses méchants parents et enferme le château dans une forêt de ronces, pour le sauver de la destruction. A partir de là le temps se répète : ils vivent tous bien gentiment, Maléfique s’affaiblit, un petit bal et elle revient comme si elle n’avait jamais vieilli (ah et puis aussi, les personnes qui contestent son pouvoir disparaissent mystérieusement). Mais Aurore ne se met à douter que lorsque les fées du dessin animé lui envoient des indices. Heureusement, elle a parfois des sursauts d’intelligence où elle s’interroge alors sur le monde autour d’elle et ce qu’elle est au monde.

Autre problème : j’ai trouvé Maléfique sans substance aucune et c’est bien dommage car c’est selon moi un personnage complexe et très intéressant. Au contraire, le prince charmant a été très bien traité : drôle, il n’est pas pour autant stupide. J’ai adoré ses petites réflexions telles que « On est vraiment sûrs que le dragon est mort là ? Quelqu’un est allé vérifier ? » ou encore « C’est une femme dans un corps de dragon ou un dragon dans un corps de femmes en fait ? ». C’est vraiment ce qui m’a aidée à voir ce roman comme comique et donc à l’apprécier malgré les nombreuses maladresses.

Car oui, des maladresses il y en a à la pelle ! L’écriture est simple, il y a peu de descriptions, au point que j’avais parfois l’impression de lire du théâtre. Les personnages sont assez fades et le tout est parfois brouillon. Toutefois, je dois reconnaitre que j’ai beaucoup aimé le twist concernant Aurore, et la réécriture du conte en elle-même, c’était très original.


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