C’est l’Euro de foot, c’est incontournable, personne n’y échappe. Mais le grand cirque des arènes et des fanzones méga sécurisées, avec le barnum ultra consumériste qui les accompagne, m’agace. Pas question donc de laisser à l’UEFA et ses sbires le moindre centime puisqu’ils se sont déjà servis : tout ce qu’ils gagnent est non imposable… Jackpot ! Moi, je fuis.
Pour le reste, il faut avouer que pendant ces quelques jours, ce fut la fête dans les rue, les places et les jardins, à grand coup de ballons et de chopines. Jusqu’à dans les rues étroites du Vieux-Lyon, pas forcément adaptées aux dribbles chaloupés et autres « bicyclettes ». Jugez plutôt : que croyez-vous qu’il se passe un groupe de plusieurs centaines de supporters de diverses couleurs est privé de ballon, envoyé par mégarde – ou pas – dans une fenêtre ouverte d’un premier étage…
par @RodolpheKoller