:star: Pennyroyal Green, tome 3 : Rosalind , femme de passion de Julie Anne Long
Nombre de pages : 373 pages
Editeur : J’ai Lu
Date de sortie : 25 mai 2016
Collection : Aventures & Passions
Langue : Français
ISBN-10 : 229012608X
ISBN-13 : 978-2290126080
Disponible sur Liseuse : Oui
Prix Éditeur : 7,40 €Son résumé :
Quelle est cette femme mystérieuse qui souhaite rencontrer le capitaine Chase Eversea ? Poussé par la curiosité, Chase se rend au rendez-vous et reconnaît… l’envoûtante Rosalind March, veuve de son ancien colonel, qu’il a connue à Bruxelles à l’époque où elle n’était qu’une jeune fille naïve et imprudente. Aujourd’hui, elle sollicite son aide pour élucider la disparition de sa sœur. Chase accepte à contrecœur. Il a de bonnes raisons de se méfier de Rosalind. N’a-t-elle pas fréquenté des espions français avant la bataille de Waterloo ? Et surtout, depuis toujours, il y a entre eux ce désir qui brouille les cartes et les met en danger.
Mon avis
De retour avec la famille Eversea, je trépignais de voir encore un mâle viril (et blessé) sur le devant de la scène. L’histoire peut tout à fait être lue sans avoir connaissance des volumes précédents, je ne trouve pas qu’il y ait de liaison avec les autres tomes, si ce n’est la branche familiale abordée ici.
Suite à ce rendez-vous clandestin, le jeune homme se retrouve face à Mme March. Contrairement à ce que dit le résumé, il n’y a pas d’interrogations sur l’implication de Rosalind avec des espions français, mais une raison beaucoup plus intime : le désir qui a plané sur leurs échanges, alors que la jeune femme était mariée… avec un autre, et un baiser entre eux qui a causé un transfert de régiment pour le capitaine Eversea. Il y a donc comme une gêne, un contentieux entre ces deux personnages, puisqu’il y a presque eu adultère.
Je ne vais pas y aller par quatre chemins, si le titre vous fait de l’œil et vous laisse espérer de l’intensité amoureuse, tournez les talons, c’est indubitablement une histoire introspective et on est loin du passionnel auquel on pourrait s’atteindre.
Comme j’apprécie la plume de Julie Anne Long, je n’ai pas lâché ma lecture avant la fin mais… je me suis un peu noyée dans la simili-enquête qui est le fil conducteur de ce roman : ça traîne en longueur, et s’il y a de nombreux retours en arrière qui explicitent le passé tout de désirs refoulés entre Rosalind et Chase, on fait constamment du sur-place.
Concernant la recherche de Lucy, la jeune sœur, rien ne se passe avant les tout derniers chapitres, et pour ce qui est des deux protagonistes, on ronge son frein en se demandant quand ces deux-là vont faire preuve de passion, justement !
J’ai dit introspectif, puisque nous avons une alternance entre les points de vue de l’héroïne et du héros, leurs ressentis, leurs rêves et leurs envies, mais dès qu’il s’agit de passer à la pratique, on se perd dans les péripéties des personnages secondaires qui délayent le peu d’action existante et repoussent aux calendes grecques une explication, une confrontation, un choc entre Rosalind et Chase.
Certes, il y a finalement concrétisation (carrément olé-olé), mais cela nous est rapidement narré, comme un passage anodin. Moi qui attendais impatiemment ce moment, j’en suis restée sur ma faim, hélas. Quant à l’enquête, sa raison d’être et son épilogue sont plus que cousus de fil blanc, et le peu de cas que fait Rosalind – tout au long de l’histoire – sur la disparition de son tendron de sœur m’a quand même interloquée.
J’ai pourtant tenu bon, dans l’attente d’une action-réaction qui n’est venue que fort tard dans le titre, et si je lirais la suite de cette série, je ne classe pas cet opus dans les A&P. incontournables : je ne suis pas convaincue de l’intérêt de lire ce tome pour faire la jonction avec le reste de la série, surtout que la fin me laisse comme un goût d’inachevé.
Toutefois, puisqu’il s’agit d’une saga sur le long cours (plus de 15 opus), un tome de moindre intensité peut se comprendre, même si j’ai été quelque peu déçue par la tiédeur de cette histoire.
Il y a cependant de petits passages drôles et des situations cocasses qui font de cette lecture un moment sympathique, mais pas inoubliable car il y manque cette fameuse passion annoncée par le titre.
À lire pour faire la connaissance d’un autre mâle de la lignée Eversea, mais ne vous attendez pas à retrouver l’allant des tomes précédents.
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:star: Pennyroyal Green, tome 3 : Rosalind , femme de passion de Julie Anne Long
Nombre de pages : 373 pages
Editeur : J’ai Lu
Date de sortie : 25 mai 2016
Collection : Aventures & Passions
Langue : Français
ISBN-10 : 229012608X
ISBN-13 : 978-2290126080
Disponible sur Liseuse : Oui
Prix Éditeur : 7,40 €Son résumé :
Quelle est cette femme mystérieuse qui souhaite rencontrer le capitaine Chase Eversea ? Poussé par la curiosité, Chase se rend au rendez-vous et reconnaît… l’envoûtante Rosalind March, veuve de son ancien colonel, qu’il a connue à Bruxelles à l’époque où elle n’était qu’une jeune fille naïve et imprudente. Aujourd’hui, elle sollicite son aide pour élucider la disparition de sa sœur. Chase accepte à contrecœur. Il a de bonnes raisons de se méfier de Rosalind. N’a-t-elle pas fréquenté des espions français avant la bataille de Waterloo ? Et surtout, depuis toujours, il y a entre eux ce désir qui brouille les cartes et les met en danger.
Mon avis
De retour avec la famille Eversea, je trépignais de voir encore un mâle viril (et blessé) sur le devant de la scène. L’histoire peut tout à fait être lue sans avoir connaissance des volumes précédents, je ne trouve pas qu’il y ait de liaison avec les autres tomes, si ce n’est la branche familiale abordée ici.
Suite à ce rendez-vous clandestin, le jeune homme se retrouve face à Mme March. Contrairement à ce que dit le résumé, il n’y a pas d’interrogations sur l’implication de Rosalind avec des espions français, mais une raison beaucoup plus intime : le désir qui a plané sur leurs échanges, alors que la jeune femme était mariée… avec un autre, et un baiser entre eux qui a causé un transfert de régiment pour le capitaine Eversea. Il y a donc comme une gêne, un contentieux entre ces deux personnages, puisqu’il y a presque eu adultère.
Je ne vais pas y aller par quatre chemins, si le titre vous fait de l’œil et vous laisse espérer de l’intensité amoureuse, tournez les talons, c’est indubitablement une histoire introspective et on est loin du passionnel auquel on pourrait s’atteindre.
Comme j’apprécie la plume de Julie Anne Long, je n’ai pas lâché ma lecture avant la fin mais… je me suis un peu noyée dans la simili-enquête qui est le fil conducteur de ce roman : ça traîne en longueur, et s’il y a de nombreux retours en arrière qui explicitent le passé tout de désirs refoulés entre Rosalind et Chase, on fait constamment du sur-place.
Concernant la recherche de Lucy, la jeune sœur, rien ne se passe avant les tout derniers chapitres, et pour ce qui est des deux protagonistes, on ronge son frein en se demandant quand ces deux-là vont faire preuve de passion, justement !
J’ai dit introspectif, puisque nous avons une alternance entre les points de vue de l’héroïne et du héros, leurs ressentis, leurs rêves et leurs envies, mais dès qu’il s’agit de passer à la pratique, on se perd dans les péripéties des personnages secondaires qui délayent le peu d’action existante et repoussent aux calendes grecques une explication, une confrontation, un choc entre Rosalind et Chase.
Certes, il y a finalement concrétisation (carrément olé-olé), mais cela nous est rapidement narré, comme un passage anodin. Moi qui attendais impatiemment ce moment, j’en suis restée sur ma faim, hélas. Quant à l’enquête, sa raison d’être et son épilogue sont plus que cousus de fil blanc, et le peu de cas que fait Rosalind – tout au long de l’histoire – sur la disparition de son tendron de sœur m’a quand même interloquée.
J’ai pourtant tenu bon, dans l’attente d’une action-réaction qui n’est venue que fort tard dans le titre, et si je lirais la suite de cette série, je ne classe pas cet opus dans les A&P. incontournables : je ne suis pas convaincue de l’intérêt de lire ce tome pour faire la jonction avec le reste de la série, surtout que la fin me laisse comme un goût d’inachevé.
Toutefois, puisqu’il s’agit d’une saga sur le long cours (plus de 15 opus), un tome de moindre intensité peut se comprendre, même si j’ai été quelque peu déçue par la tiédeur de cette histoire.
Il y a cependant de petits passages drôles et des situations cocasses qui font de cette lecture un moment sympathique, mais pas inoubliable car il y manque cette fameuse passion annoncée par le titre.
À lire pour faire la connaissance d’un autre mâle de la lignée Eversea, mais ne vous attendez pas à retrouver l’allant des tomes précédents.
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