Comme dit précédemment dans mon article « Quand les autres te font douter de ton enfant« , j’essai d’appliquer un mode d’éducation dit « bienveillant », en évitant cris et en restant uniquement dans la communication, même si effectivement il cri et mord, ce qui peut parfois en choquer plus d’un.
Je ne dis pas que je réussi tout le temps. Loin de là. Car le manque de sommeil (car petit bout se réveil encore souvent la nuit et oui là aussi il n’est pas parfait), l’éducation que l’on a eu et le vécu de chaque parent met parfois cette patience à rude épreuve et ne fonctionne pas toujours. Mais j’essai au maximum de développer cette méthode d’éducation, d’écouter les conseils d’Isabelle Filliozat et je n’en démords pas. Je pense que c’est la méthode d’éducation qui nous correspond le plus à mon chéri et moi et n’en déplaise à certains.
Après je reconnais aussi, que malgré toutes mes lectures, ce n’est pas gagné et il n’est pas non plus évident d’apporter des limites à ce petit garçon. Car je ne sais pas forcément appliquer tous les conseils. En effet, quand j’essai d’expliquer calmement à mon petit bout que je comprends qu’il puisse être en colère mais que c’est normal que je lui refuse telle ou telle chose parce que il y a du danger ou pour x autre raison, et que face à ça, vous avez un petit qui ne vous écoute ABSOLUMENT pas. Qui cri, encore et encore à chaque début de son qui sort de votre bouche, qu’il bouge dans tous les sens, se jette parfois par terre car il proteste et refuse catégoriquement – tout simplement de vous écouter par colère.
SourceEt bien là vous vous demandez si vous arrivez bien à appliquer la bonne méthode, si il ne faudrait pas utiliser une autre méthode pour lui. Et tous tes repères, toutes tes bonnes intentions de mamans partent en vrille et tu doutes de tout en un quart de cri seconde. Je cris parfois d’épuisement et rebelote, je me mets à culpabiliser d’avoir crier , de ne pas avoir réussi.
Honnêtement ce n’est pas évident d’être maman et ça l’est encore moins quand les gens en font des comparaisons (parfois même inconsciemment), ou quand ils vous jugent.
Je me souviens qu’avant d’être maman, je critiquais les parents un peu trop laxiste, ou ceux qui était trop sévère. Maintenant que je suis moi même dans ce rôle, je me rends compte que ce n’est vraiment pas facile, qu’on essai de faire du mieux que l’on peu et que malgré tout, on aime nos enfants plus que tout. Et c’est là, que tu te rends compte que tout tes principes, toutes tes idées d’avant même la grossesse, tout tombe complètement aux oubliettes.
Et que tant que tu n’as pas d’enfants, tu ne peux pas savoir comment tu seras.
Hé hé, je te vois toi, qui n’a pas encore d’enfant en train de te marrer en lisant cette phrase. Et bien tu verras, qui rira le dernier