Briana Evigan défend la suite de Donnie Darko des critiques

En 2001, c’est grâce à « Donnie Darko » que les carrières du scénariste/réalisateur Richard Kelly et de l’acteur Jake Gyllenhaal ont véritablement été révélées. Ce dernier, qui a décroché le personnage clé masculin : un adolescent schizophrène pris d’hallucinations, a stupéfié public et critiques. Mais lorsqu’il a été annoncé que « S. Darko » serait une suite, les fans et Richard Kelly lui-même, ont non seulement réagi avec colère, mais ils se demandent aussi pourquoi le film sorti en 2001 a besoin d’une suite.

Désavouant le projet, Kelly a posté les mots suivants sur son blog : « Je n’ai pas encore lu le script. Je n’ai absolument rien à voir avec cette production, je ne serai pas non plus impliqué. Je n’ai pas le contrôle des droits à partir de notre film original, et ni moi ni mon partenaire à la production Sean McKittrick ne risque de faire de l’argent pour ce film ».

Malgré cela, la jeune Briana Evigan, celle qui a récemment rejoint le casting de la suite du film psychologique/science-fiction, a défendu le réalisateur du projet en question, Chris Fisher, lorsque ce dernier faisait face à la polémique, en affirmant : « Chris Fisher est le plus cool des réalisateurs ».

La scène de la suite de « Donnie Darko » se situera donc sept ans après les évènements bouleversants qui ont touché la famille dans le premier volet et se focalisera aussi sur « Samantha D » ou « S. Darko », le personnage de l’actrice Daveigh Chase dans le film original, et sa meilleure amie troublée par d’étranges visions au cours d’un voyage.

La vedette de « Step Up 2 the Streets » a déclaré : « Ce film est tellement dingue. C’est en fait un retour en arrière pour changer les choses. Mon personnage réussit à modifier le temps pour aider une autre personne, sa meilleure amie. Tout cela se passe dans des dimensions entièrement différentes, mais cela consiste à rectifier quelque chose pour autrui, et être capable de revenir en arrière et avoir une autre chance. Nous revenons juste à temps pour changer ce qui s’est passé dans le premier film ».