A partir d'une tâche sur le mur, notre narratrice imagine tout ce que cela pourrait être, sans jamais se lever pour vérifier ou voir de plus près. Parce qu'en fait, quand on y regarde de plus près, c'est un peu décevant cette tâche qui n'en est pas une. Son esprit divague sur la surface, les apparences des choses, des gens... S'attarde sur les gens qui savent, qui dirigent... Sur les sensations...
Cela ne restera pas mon souvenir le plus éblouissant de Woolf même si l'on retrouve son écriture poétique et son écriture au rythme de la pensée.