Aujourd’hui, je ne vais pas parler de box, de batterie ou d’atomiseur. Pour être honnête, cet article s’adresse surtout aux experts et à ceux qui sont fans des reconstructibles. En effet, je vais parler d’un coton pour coil. On a en connait beaucoup, il y en a beaucoup, mais je vais vous parler d’une petite merveille découverte sur une vidéo. Le Kendo Vape Cotton Gold Edition.
Le Kendo Vape donc. Qu’est-ce qui le rend si spécial selon moi? Déjà pour sa restitution des saveurs. Avec son excellente capillarité, il absorbe parfaitement le liquide, même en 100% VG. Par exemple, je l’utilise avec le Vanilla Mama de chez Ammo, un liquide épais et gras, et boum. Quel plaisir en bouche! Je n’ai pas peur de le dire mais j’ai redécouvert mon liquide. Sur le plateau, le coton retient bien le liquide et quand on ouvre un peu la cloche (j’utilise un Vapor Giant Mini V2 dont il faut parfaitement doser l’ouverture de la cloche sinon, ça coule). ET là, je dirais que c’est le miracle. Comme beaucoup, je prenais de la Fiber Freaks avant et elle faisait le taf, sans pour autant me transporter au 7ème ciel. Le Kendo Vape le fait sans conteste.
Mais en plus, il a une durée de vie vraiment plus importante. Le Vapor Giant Mini V2 (que je présenterai plus tard) est assez gourmand et crame vite le coton, surtout si on ne s’y connait pas beaucoup. Or le Kendo dure 2 à 3 fois plus longtemps. Et magie, même brûlé (cramé même à 91W par mégarde pour un coil à 0,9 ohm), il ne dénature pas le liquide et ne donne pas de goût de brûlé, comme c’est souvent le cas avec les autres cotons. Enfin, 2 ou 3 puff pour éliminer les parasites et c’est reparti. Faites la même chose avec de la Fiber et vous verrez. Carbonisé le coton 😀 Pourquoi cela n’arrive pas avec le Kendo me demanderez-vous? Parce qu’il possède une très bonne résistance à la chaleur. J’ai fait des tests en élevant les Watt et il faut vraiment monter haut par rapport au coil pour bruler le tout. Après 3 jours vapote intensive (et je pèse mes mots), le coton a tout juste prix une couleur légèrement caramel et j’avais toujours ma restitution de saveur.
Le Kendo est un peu plus épais que les autres (ce qui explique sa grande capillarité). Personnellement, j’ai opté pour la version en bande et la découpe n’est pas forcément facile. Néanmoins, une fois découpé, il est facile de faire 2 mèches avec le petit morceau en respectant le sens de la fibre. On sent la qualité du coton en insérant la mèche dans le coil. C’est un peu plus difficile, en partie parce qu’il ne se déchire pas. Pas besoin de refaire plusieurs découpe pour avoir une mèche parfaite.
Une merveille ce coton. Si vous voulez du coton japonais de qualité, optez pour le Kendo. Un peu plus cher que les concurrents, les 2 euros de plus se valent largement car on économise sur le temps.