Je lis dans la presse les comptes-rendus du procès "Alexandre" à Pau. C'est un môme qui passe, hélas pour lui, trop près de gens sans coeur dont les cervelles ont consistance de vomi de hyène, d'un portable piqué au gamin découpé, ce sont des supporters que j'entends hier sur Inter, qui sont-ils ? Anglais, français, belges, allemands, aucune importance, ils parlent de leur culture bière, des bières qu'ils boivent dès le petit déj, six, sept, huit, neuf, dix, onze, ça fait partie de nous la bière, le foot c'est ça, c'est nous, tu parles, beurk, je passe mon chemin, l'Euro me débecte, me donne la nausée, c'est Orlando, les tronches de ceux qui pensent, partout sur la planète : des PD, mentalités fossilisées comme quand ils pensent, de même, les mêmes, fille violée l'a bien cherché, je passe mon chemin, c'est la tête de Poutine atrabilaire qui bombe pour la énième fois son torse puissant, hooligans russes, sportifs dopés chez moi, viens me dire ça en face, you talking to me... je passe mon chemin, c'est la loi travail, c'est la chienlit immédiatos quand on parle réforme, parce que rien n'est à réformer peut-être en France ? Le code du travail, le système des retraites, la fonction publique, l'éducation, l'Université, l'apprentissage, le parlement, la fonction présidentielle, la protection de l'environnement, la lutte contre l'évasion fiscale, les lobbyings, etc. non... non rien de tout ça, rien ne sera jamais réformable en France car miss chienlit dégaine d'abord et ne discute même pas après, elle ne discute jamais, c'est Cambadélis ce matin et des primaires de la gauche du pouvoir en janvier prochain, François tu vas te représenter, non, pas vrai, non, c'est trop, je me marre, hilarant, je passe mon chemin, canard WC pour assainir l'air du temps, canard WC.