Le papier électronique (également appelé papiel, e-paper ou encre électronique[1]), est une technique d’affichage sur support souple (papier, plastique), modifiable électroniquement, cherchant à imiter l’apparence d’une feuille imprimée et qui, comme le papier, ne nécessite pas d’énergie pour laisser un texte ou une image affichée.Contrairement aux techniques d’affichage classiques qui nécessitent un rétro-éclairage ou l’émission d’électrons, le papier électronique est purement réflectif et utilise la lumière ambiante de la même manière que le papier classique. Un papier électronique doit pouvoir afficher du texte et des images indéfiniment, sans consommer d’énergie, que ce soit pour l’affichage ou pour un éventuel système de traitement de données, et doit permettre le changement de ce qu’il affiche. Les pixels d’un tel système doivent donc posséder plusieurs états distincts stables, de manière à garder intact le contenu affiché en l’absence de source d’énergie.
Le papier électronique a été développé dans le but de surmonter certaines limitations liées aux écrans d’ordinateur classiques. Par exemple, le rétro-éclairage de certains écrans peut être agressif pour l’œil humain, alors que le papier électronique reflète la lumière tout comme une feuille de papier classique le ferait. Ainsi, il est très facile de lire sur du papier électronique, quelque soit l’angle sous lequel on le regarde. De plus, le papier électronique est léger, durable, et très flexible par rapport aux autres types d’affichages (mais moins flexible que du papier). (Lire la suite de l’article sur Wikipedia)
Il est pour moi évident que le livre a encore de beaux jours devant lui, les forêts amazoniennes vont enfin pouvoir un peu souffler (pour nous), seule ombre au tableau: comment sera recyclé l’ePaper?