Si belle est-elle mais quelle tristesse en ce regard,
Est-ce cette intime sagesse alors abandonnée par l’espoir,
La beauté met à l’épreuve l’être en son intégrité,
La plaisante apparence ne doit ignorer sa spirituelle élégance,
Si beau ce corps pourtant peut-il intriguer,
Devenir que le support du parfait plaisir,
L’habit de l’être né pour jouir,
Mais en lui aussi tant de doutes,
De peurs geôlières d’un précieux bonheur,
Oui elle si belle,ma semblable,mon amie en ces jours,
En vrai ma soeur éternelle,
Elle,comme moi,comme nous,en quête d’évidences pour son amour,
Puisse enfin son regard témoigner cette intense joie,
Cette vérité retrouvée,
La beauté de son entière divinité.