Des démos, des expériences et des rencontres à Futur en Seine jusqu’à Dimanche #fens2016 I ©Instagram
Une gélule-thermomètre connectéeIl s’agit d’une gélule connectée qui pèse 1,7 gramme, que l'on avale et qui mesure en continu la température du corps, jusqu'à ce qu'elle soit évacuée par des voies naturelles. Vendue 55 euros pièce, e-Celsius transmet les données sur un moniteur dédié, qui permet un suivi en temps réel. En attendant sa certification pour une utilisation médicale, la société Caennaise BodyCap (fabricant), l'a vendue à des clubs sportifs à l’instar du Stade Malherbe de la ville, à l'équipe cycliste de la Française des jeux, au centre de recherche de l'armée française, le centre de médecine du sport qatarie Aspetar, le Comité olympique américain...Un pot de fleurs qui roule vers le soleil !"Fournir aux plantes le cerveau et les jambes que la nature ne leur a pas confiés", c'est ce qu'explique très sérieusement Matthias Schmitt, le jeune patron de Still Human Robotics, start-up basée à Neuville-sur-Oise (Val d'Oise). La jeune société présente un pot connecté, qui sera disponible en 2017 pour 50 euros. Il est muni d'une diode, qui sera bleue s'il faut arroser la plante. "C'est un objet connecté déconnecté", s'amuse Matthias. "On peut bien sûr le programmer avec son smartphone, mais quand vous passez à côté, c'est le pot qui vous parle, et pas le smartphone qui sonne !" Plus spectaculaire, "Gå.ia" ressemble à une sorte de tambour. C'est en fait un drôle de pot monté sur deux roues mobiles, qui permettent à la plante de se déplacer. Le pot peut ainsi se rapprocher d'une fenêtre si elle manque de lumière ou sortir s'il pleut (et si la porte est ouverte)... Mise en vente prévue l'an prochain pour le marché des entreprises.La machine à cocktailsOn dirait une machine à café… mais il s'agit très officiellement d'un mixologue connecté. Un robot qui reconnaît les ingrédients à disposition et propose des recettes, puis les dose et émulsionne l'ensemble afin de servir le cocktail désiré. "On n'a pas vocation à remplacer le barman, mais d'apporter son savoir-faire là où il n'est pas, comme dans les lounges des compagnies aériennes", explique Alexis Kaplan, cofondateur de la start-up parisienne Kuantom. Fondée il y a deux ans, l’entreprise cherche à lever un million d'euros pour pouvoir passer à la phase de production. En attendant, la jeune pousse compte multiplier les opérations promotionnelles cet été. VF