Marie de Hennezel évoque aussi sa relation avec François Mitterrand : « quand je l’ai rencontré, en 1984, on lui avait donné trois ans à vivre. (…) Je lui ai dit que le désir de vivre, les projets que l’on a peuvent être tellement forts et, au fond, il y a une telle force de l’esprit que, finalement, le corps, a quelquefois des réactions surprenantes. Cette conversation l’a aidé je crois.» …