Le Comité contre les violences de l’ONU vient de faire part de ses préoccupations devant ce qu’il nomme « les atteintes aux droits des personnes en France ».
Il pointe « les trop nombreux décès provoqués par l’usage excessif de la force, les perquisitions non justifiées au nom de l’état d’urgence », les conditions d’encadrement des manifestations contre la Loi Travail, laissant le champ libre aux « casseurs ».
Les Représentants des syndicats de police eux-mêmes ont fait état de l’incohérence des ordres reçus et pointent les risques que ces incohérences font courir aux Policiers eux-mêmes.
La première des violences, c’est de vouloir imposée par la force la destruction du Code du Travail qui ne répond qu’aux intérêts de la bande à Gattaz.
Retrait de cette Loi imposée par le 49.3 et négociations avec les organisations syndicales, voilà le chemin de la raison et de l’intérêt général.
François LIBERTI
Président de l’Association Départementale
des Elus Communistes et Républicains