⭐ Les années du silence 2 : Les chemins de la destinée, Louise Tremblay d’Essiambre
Nombre de pages : 432
Éditeur : Charleston
Date de sortie : 9 mai 2016
Collection : Grands Romans
Langue : Français
ISBN-10: 2368121021
ISBN-13: 978-2368121023
Prix Éditeur : 22,50€
Disponible sur Liseuse : NonSon résumé :
Après quarante ans de séparation, Jérôme et Cécile se retrouvent enfin, chacun portant les cicatrices d’une vie mouvementée. Mais l’amour sera-t-il encore au rendez-vous ? Parviendront-ils enfin, au crépuscule de leur vie, à redonner un sens à ces années d’espoir sans trêve ? Jérôme et Cécile, à la recherche du temps perdu, réussiront-ils à reprendre leur vie là où la guerre l’avait laissée?
Commence alors une quête. La quête de l’amour, du bonheur et de la sérénité. La quête de la vie !
Et puis il y a François, le petit-fils, et Sébastien, un adolescent frondeur à qui la vie ne fait aucun cadeau. Amer, blessé, il a choisi la rue parce que personne ne l’a choisi. François arrivera-t-il à faire une différence dans la vie de Sébastien ?
Mon Avis :
Que ceux qui se souviennent de mon monumental coup de cœur pour le premier tome lèvent la main ! Parce que ça se reproduit alors attendez-vous à une chronique avec beaucoup d’exclamations !
Si on avait laissé, à la fin du premier tome, Cécile, Jérôme et Dominique âgés et en train de se découvrir, on les retrouve ici quelques semaines plus tard. Jérôme est revenu dans la Beauce, Cécile vit à Québec et Dominique a retrouvé ses enfants François, Frédéric et Geneviève. Et si le premier tome se concentrait surtout sur la relation entre Cécile et Jérôme, leur séparation et la vie amoureuse de Cécile, ici on entre dans d’autres domaines : le poids du silence, l’éducation, la drogue, les tares de la vie.
Je ne sais pas comment fait cette auteur mais elle a un réel don pour m’attacher à ses personnages et pour amener des sujets poignants et réalistes sans que je ne m’y attende ! J’ai trouvé ses réflexions sur la difficulté d’éduquer des adolescents très belles, j’ai souffert quand les personnages apprenaient des maladies, j’ai souri quand ils s’en sortaient,… Et puis elle a un don aussi pour révéler les informations au compte-goutte mais toujours au bon moment : par exemple un personnage fugue, et au chapitre suivant on se retrouve 10 ans plus tard, que s’est-il passé pendant ces dix années ? L’auteur nous le révèle quelques chapitres plus loin, au détour des confessions des personnages.
Au cours des deux tomes réunis dans ce livre, on suit les personnages sur 12 ans, de 1984 à 1996, on retrouve les personnages qu’on adorait mais on en découvre aussi de nouveaux comme les maris/femmes qui se greffent à la famille Cliche ou Sébastien, un jeune de 18 ans qui vit dans la rue et que le petit-fils de Cécile, François, s’est décidé à aider. Sébastien c’est un personnage particulier, que j’ai aimé mais qui m’a aussi énervée même si je le comprenais. Il apporte toute une réflexion sur l’homosexualité dans les années 90 au Canada : le rejet, puis l’acceptation, et aussi que rien n’est définitif.
Au final, malgré les problèmes et les embûches que rencontrent les personnages, une chose ressort encore et toujours de cette saga familiale : l’espoir. Il y a toujours de l’espoir, toujours de l’amour, et c’est au fond le principal, c’est ce qui fait qu’ils sont heureux et que cette saga met du baume au cœur et fait faire des loopings au mien.
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⭐ Les années du silence 2 : Les chemins de la destinée, Louise Tremblay d’Essiambre
Nombre de pages : 432
Éditeur : Charleston
Date de sortie : 9 mai 2016
Collection : Grands Romans
Langue : Français
ISBN-10: 2368121021
ISBN-13: 978-2368121023
Prix Éditeur : 22,50€
Disponible sur Liseuse : NonSon résumé :
Après quarante ans de séparation, Jérôme et Cécile se retrouvent enfin, chacun portant les cicatrices d’une vie mouvementée. Mais l’amour sera-t-il encore au rendez-vous ? Parviendront-ils enfin, au crépuscule de leur vie, à redonner un sens à ces années d’espoir sans trêve ? Jérôme et Cécile, à la recherche du temps perdu, réussiront-ils à reprendre leur vie là où la guerre l’avait laissée?
Commence alors une quête. La quête de l’amour, du bonheur et de la sérénité. La quête de la vie !
Et puis il y a François, le petit-fils, et Sébastien, un adolescent frondeur à qui la vie ne fait aucun cadeau. Amer, blessé, il a choisi la rue parce que personne ne l’a choisi. François arrivera-t-il à faire une différence dans la vie de Sébastien ?
Mon Avis :
Que ceux qui se souviennent de mon monumental coup de cœur pour le premier tome lèvent la main ! Parce que ça se reproduit alors attendez-vous à une chronique avec beaucoup d’exclamations !
Si on avait laissé, à la fin du premier tome, Cécile, Jérôme et Dominique âgés et en train de se découvrir, on les retrouve ici quelques semaines plus tard. Jérôme est revenu dans la Beauce, Cécile vit à Québec et Dominique a retrouvé ses enfants François, Frédéric et Geneviève. Et si le premier tome se concentrait surtout sur la relation entre Cécile et Jérôme, leur séparation et la vie amoureuse de Cécile, ici on entre dans d’autres domaines : le poids du silence, l’éducation, la drogue, les tares de la vie.
Je ne sais pas comment fait cette auteur mais elle a un réel don pour m’attacher à ses personnages et pour amener des sujets poignants et réalistes sans que je ne m’y attende ! J’ai trouvé ses réflexions sur la difficulté d’éduquer des adolescents très belles, j’ai souffert quand les personnages apprenaient des maladies, j’ai souri quand ils s’en sortaient,… Et puis elle a un don aussi pour révéler les informations au compte-goutte mais toujours au bon moment : par exemple un personnage fugue, et au chapitre suivant on se retrouve 10 ans plus tard, que s’est-il passé pendant ces dix années ? L’auteur nous le révèle quelques chapitres plus loin, au détour des confessions des personnages.
Au cours des deux tomes réunis dans ce livre, on suit les personnages sur 12 ans, de 1984 à 1996, on retrouve les personnages qu’on adorait mais on en découvre aussi de nouveaux comme les maris/femmes qui se greffent à la famille Cliche ou Sébastien, un jeune de 18 ans qui vit dans la rue et que le petit-fils de Cécile, François, s’est décidé à aider. Sébastien c’est un personnage particulier, que j’ai aimé mais qui m’a aussi énervée même si je le comprenais. Il apporte toute une réflexion sur l’homosexualité dans les années 90 au Canada : le rejet, puis l’acceptation, et aussi que rien n’est définitif.
Au final, malgré les problèmes et les embûches que rencontrent les personnages, une chose ressort encore et toujours de cette saga familiale : l’espoir. Il y a toujours de l’espoir, toujours de l’amour, et c’est au fond le principal, c’est ce qui fait qu’ils sont heureux et que cette saga met du baume au cœur et fait faire des loopings au mien.