une stratégie sophistiquée , une partie d'échecs diabolique qu'aucun entraîneur n'avait osé mettre en pratique. Dans vingt ans on on reparlera du "Coup à la Doménech" ou encore beaucoup s'exclameront devant leur arrière-petits enfants médusés et en haleine : 
" ce soir là j'étais devant ma télé et je n'oublierais jamais Doménech le 17 juin 2008" . Après le 4-1 qui a crucifié l' Equipe de France, Raymond "la Science" a décidé de faire jouer 10 joueurs sur une même ligne , appelé également par les puristes le 0.0.10 . Tous à l'attaque et tous en défense et on mise sur le hors-jeu et la contre-attaque. Pas de prise de tête, plus de doute, plus de passe ratée , la balle circule latéralement. 
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Le joueur le mieux placé shoote. "Durant la phase de repli, je ne veux voir qu'une seule tête" explique Raymond Doménech. Durant un corner ? les 11 joueurs français se retrouvent dans le but de Coupet . C'est Berlin, mais en plus hermétique. il fallait y penser , il fallait oser, Raymond le fera ce soir. Contre l'Italie, ce véritable front tricolore va déferler tel le rouleau compresseur sur les lignes azuri dispersées en un 4-4-2 quasiment préhistorique face à l'innovation et l'imagination du sélectionneur des Bleus. Un grand moment foot-balististique en persective.
Jeu de briques
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