Tu as le coeur lourd des années dilatées
d’attente
Le calme du soir est trompeur quand
tu fermes les yeux
Oubliés la nuit les chagrins de la veille
surgissent
avec l’affront des vivants devant les corps
blessés qui ne savent plus dire
***
Tu as le coeur lourd des années dilatées
d’attente
Le calme du soir est trompeur quand
tu fermes les yeux
Oubliés la nuit les chagrins de la veille
surgissent
avec l’affront des vivants devant les corps
blessés qui ne savent plus dire
***