Mise en garde : vous ne pouvez décemment pas prétendre que ça n’existe pas si vous ne suivez pas attentivement ce dossier et les vidéos incluses. Ainsi, et aussi long soit-il, un effort est demandé au lecteur curieux, sceptique ou contradicteur, pour aller jusqu’au bout. D’avance, merci.
Après cela, et à titre personnel, je ne pourrai plus vraiment faire grand chose de plus pour tenter d’ouvrir les yeux à mes concitoyens sceptiques ou mésinformés. Certaines affirmations renvoient vers des dossiers déjà disponibles, qui allongeront donc considérablement le propos en l’étayant.
Bon à savoir : l’auteur partage la vie d’une belle-famille « juive » (non-pratiquante).
L’Histoire est limpide, pour qui sait franchir le rubicon du carcan idéologique. Et qui mieux que des juifs résistants pour l’expliquer ?
Résumé : certains juifs sont animés par une force multiséculaire religieuse afin de s’imposer comme le peuple-roi au dessus des nations et des peuples. S’étant fait chasser de tous les pays où ils furent accueillis pour leur refus de s’intégrer au reste des cultures endémiques des pays d’accueil, ils entreprirent, par leur habileté indéniable dans certains domaines, de saper les autorités qui les empêchaient de se hisser au sommet (ces autorités étaient les têtes couronnées ou l’Eglise chrétienne, l’ennemie intime des juifs depuis la mort du Christ). Des étapes cruciales furent par exemple le concile Vatican II pour l’Eglise et la Révolution française pour la royauté. Puis, des lois successives leur permirent de devenir des citoyens intouchables. Aujourd’hui, au sein de ce qu’il reste des nations, des paravents idéologiques manipulés tel que l’antiracisme et autres manigances de gauche leur garantissent de ne plus être montrés du doigt sans souffrir d’exclusion sociale. Au niveau international, l’entité sioniste messianiste est devenue intouchable, incritiquable, et largement soutenue par les « grandes puissances » qui sont en fait elles-mêmes tenues par la haute finance juive des Rothschild. Le plan pour faire de Jérusalem la capitale d’un monde judéo-centré est en phase finale. L’utilisation du spectre islamiste, entretenu par eux, permet de détourner l’attention vers un ennemi majoritairement fantasmatique et crée de toutes pièces.
Introduction
Soyons francs : si tu es goy (non juif) il t’es impossible de critiquer le judaïsme, ou la juiverie, sans être taxé d’« antisémitisme ». L’intérêt de ce dossier est de présenter les mêmes arguments, mais évoqués et prononcés par des juifs dissidents, qualifiés par les autres juifs extrémistes de « juifs ayant la haine de soi ».
Après quelques années d’études, de lectures passionnantes mais froidement déstabilisantes, après une expérience personnelle et une confrontation avec la réalité politique, je suis à même de comprendre ce qu’a braillé un jour de 2012 ce trotskyste strasbourgeois, au sujet de la projection d’un documentaire sur le 11 Septembre qui devait se dérouler dans un squat social du centre-ville, soirée qu’ils sont venus stopper nette, en disant, entre autre :
« C’est le genre de sujets qui mènent au complot juif mondial ! »
Aujourd’hui, j’ai la certitude documentée que ce fameux complot juif existe bel et bien. C’est bien plus énorme que tout ce qu’on peut imaginer, à vrai dire. Sans même citer à un quelconque moment les fameux Protocoles des sages de sion, le deuxième livre le plus vendu au monde après la Bible, je vous propose de vous l’exposer en me basant sur divers ouvrages d’auteurs juifs et en partie sur cette fameuse Bible, livre le plus imprimé ici bas.
Tout part de là. Qui ne se penche pas sur les religions passera à côté de la réalité de l’histoire humaine et du résultat actuel. Même si le sujet peut aujourd’hui rebuter certains, il s’agit de considérer quelques faits historiques pour comprendre.
Je fais une rapide digression pour rappeler que la surabondance d’informations dans notre quotidien est voulue pour deux raisons : en multipliant les chaines de télé, radio, les journaux, les livres (…) on contribue à noyer les informations essentielles et cruciales pour comprendre l’enjeu. D’autre part, en nous servant de la merde, on cherche à nous abrutir. Les vérités de ce monde sont disponibles, à la vue de tous, encore faut-il savoir où et quoi chercher. Et simplement en avoir envie. J’ajouterai aussi : ne pas avoir peur de la pression sociale ni des intimidations.
Il y a une continuité historique impressionnante, remarquons-le, dans le projet juif de domination de la planète. Depuis plus de 2000 ans, ils ont inexorablement façonné l’histoire dans leur intérêt et leur but ultime inavouable. Pour ces raisons, ils ont suscité un dégout à travers les âges, accompagné d’expulsions ou de châtiments.
A travers un résumé en 4 chapitres qui renverront vers des dossiers plus importants, il sera clair pour qui veut bien suivre que l’histoire est sacrément biaisée :
- Judaïsme
- Les juifs vis-à-vis des autres religions monothéistes
- La révolution mondiale juive : Maçonnerie, illuminisme, Bolchévisme, Communisme et Socialisme
- Société des nations, israël, esclavage monétaire et nouvel ordre mondial
En guise d’introduction, cette conférence importante de l’écrivain saxophoniste juif Gilad Atzmon, avant de nous plonger dans l’Histoire :
Connexe, en lien:
- Partie 1 – Conférence de Jacob Cohen
- Bibliographie de Gilad Atzmon
1. Le judaïsme
« C’est un jour de vengeance pour Yahvé, une année de revanche dans la controverse de Sion » Isaïe 34:8.
La religion judaïque (tout du moins son côté talmudique) est une véritable saloperie qui considère chaque non-juif comme un animal et promet le contrôle des peuples et la disparition des nations, dans un monde centralisé sur israël. Je conçois que cette introduction puisse gêner le lecteur, mais c’est écrit dans leurs livres religieux. Nous survolerons des extraits du talmud et de la kabbale pour exposer ces faits.
J’ai lu divers auteurs juifs, dont Henry Mackow et ses 3 livres « Illuminati » qui, de manière honnête expose la racine juive de la tête de l’hydre (Rothschild et consort) (en dédouanant toutefois les « juifs du quotidien », étrangers aux racines de l’antisémitisme ou même au complot mondial). Sur ce point, j’ai tendance à le désavouer au moins partiellement, me rapprochant plus de l’analyse d’un Gilad Atzmon ou d’un Israël Adam Shamir (juifs), qui préconisent et conseillent simplement aux juifs d’abandonner leur judaïté, ayant identifié que cette doctrine raciale suprématiste n’était pas humainement viable. Par cette citation illustratrice, je compte maintenant rentre dans le vif du sujet :
Il y a une seule façon de cesser d’appartenir à la religion juive, c’est de faire comme faisaient les anarchistes français il y a encore quelques dizaines d’années (quand ils avaient une existence réelle), qui déclareraient publiquement leur départ de la religion chrétienne (…). Cela ne consiste pas seulement à se convertir à une autre religion, comme l’a fait un autre juif « antisioniste », Israël Adam Shamir, car l’important est d’annoncer publiquement, outre son départ de la religion juive, qu’on ne se considère plus comme un juif, et qu’en conséquence, personne ne doit plus vous considérer comme un juif. A partir de ce moment seulement, l’individu n’appartient plus au judaïsme, et n’est plus un adepte de cette religion (source)
Expulsions des juifs d’Europe de 1100 à 1600
En effet, cette citation précise que la conversion à une autre religion ne peut pas être considérée comme un gage de non-judaïté, en voici la raison : tout au long de l’histoire, les juifs ont été chassés des pays où ils s’étaient installés et avaient prospéré. Pour deux raisons (que nous approfondiront par ailleurs) : les juifs vivaient entre eux, ils ne souhaitaient pas se mélanger aux habitants des pays d’accueil ; d’autre part, ils finissaient toujours par devenir sur-représentés dans certains postes importants ou dans le commerce. Ils suscitaient peu à peu la haine dans le cœur des gens. Ils ont donc eu plusieurs fois à choisir entre l’assimilation par la conversion à la religion du pays (c’est arrivés dans des pays catholiques comme l’Espagne, ou musulmans comme la Turquie) ou bien à l’expulsion hors des frontières.
Ils avaient alors recours à une ruse, c’est de faussement se convertir tout en gardant cachée leur pratique du judaïsme. En Espagne, on les a par la suite qualifiés de marranes, et en Turquie ce furent les Donmeh. Personne ne reviendra sur ces réalités historiques reconnues. Il existe une trace datée de 1489 présentée dans cette courte vidéo (durée: 1min55, présentée aussi sur
Il s’agit maintenant de comprendre qu’est-ce qui a rendu les juifs aussi asociaux. D’où cela vient-il ? A quand remonte cette particularité ? Il faut remonter loin, avant même le meurtre de Jésus par les israélites : à la naissance du « peuple juif » et du judaïsme. Voici donc un extrait de La Controverse De Sion, livre passionnant de Douglas Reed, dont la partie sur les début de l’histoire est ici résumée par Knud Eriksen :
Le supplice commença en -458, lorsqu’une petite tribu de l’antique Judée adhéra à une croyance basée sur la race. C’est en raison d’un tel racisme que la tribu avait déjà été chassée par les habitants d’Israël. Cet évènement d’apparence anodine a probablement causé plus de ravages à l’humanité que l’usage des explosifs et les épidémies combinés. Pour « La » tribu cette certitude d’être la Race des Maîtres n’était rien de moins que « La Loi ». Les judéens n’étaient qu’une petite tribu soumise au roi de Perse. Contrairement à ce qui a été prétendu et colporté, la croyance judaïque ne fut pas à l’origine du monothéisme. Le monothéisme trouve sa source initiale dans le « Livre des Morts » égyptien en -2 600, voire peut-être même avant. Le judaïsme en était au contraire une parfaite antithèse en ce qu’il était l’adoration d’un dieu tribal raciste.
« La Loi » ou « Le Pacte » (d’alliance) était – et demeure – unique en ce fait qu’elle reposait sur une déclaration d’un dieu tribal qui disposait que son « Peuple élu », les « Israélites » (en réalité la tribu de Juda) serait placé au-dessus de tous les autres peuples et s’établirait sur une « Terre promise » pour autant qu’ils s’en tienne à l’ensemble de ses lois et jugements. Si Yahvé devait être adoré à un endroit précis il s’ensuivait que si ses adorateurs ne s’y trouvaient pas, c’était parce qu’ils étaient « persécutés » ou « en captivité » et qu’il leur fallait donc « détruire » les « étrangers » qui les maintenaient « en captivité ». A cette condition seule Yahvé pouvait être le dieu de tous les autres peuples ; un dieu de punition qui sévissait en premier lieu contre son propre peuple en les condamnant à la « captivité » au milieu des païens en raison de leur « désobéissance à la Loi », puis, comme selon un scénario précis, dès lors que le « Peuple élu » avait suivi ses règles à la lettre, qui frappait les étrangers d’une extermination annoncée.
Il ne s’agissait probablement même pas d’une Alliance avec le peuple de Juda puisque, selon la « Sainte Ecriture », l’Alliance avait été conclu avec les Israélites, qui s’étaient depuis longtemps mélangés au reste de l’humanité, et qui, pour autant que nous le sachions, n’avaient jamais eu vent de cette croyance raciste. Selon l’« Encyclopédie juive » le peuple de Juda n’était probablement pas une tribu d’Israël. Les Israélites se détournaient du racisme de la tribu de Juda. Cette croyance est passée dans l’Histoire comme ayant été créée par les lévites de Judée.
Contrairement aux évènements postérieurs, qui sont d’une très grande importance, ce qui se passa avant -458 ressort essentiellement de la mythologie. Les informations écrites relatives au moment ou les Israélites rejetèrent les Judéens sont antérieures de deux siècles à cette date. L’histoire de Moïse fut extraite par les Israélites d’une mythologie très répandue remontant à l’histoire du Roi babylonien Sargon l’Ancien, 2 000 ans plus tôt. Les dix commandements sont très semblables à des commandements similaires chez les Egyptiens, les Babyloniens et les Assyriens. Lorsqu’ils rédigèrent leurs lois, les lévites, qui dirigeaient la Judée, inversèrent alors ces idées communes relatives à un dieu unique pour l’humanité entière. Ils fondèrent le contre-mouvement perpétuel en opposition avec toutes les religions universelles et associèrent les noms de la Judée et des « juifs » à la doctrine d’une auto-ségrégation envers le reste de l’humanité, à la haine raciale, à l’assassinat au nom de la religion ainsi qu’à la vengeance. La personnification de la traîtrise, le judas, figurait également déjà au tout début de la Judée.
Les histoires relatives à un Moïse menant un exile de masse hors d’Egypte ne peuvent être avérées, point de vue partagé par le Dr Kastein. Cet épisode fut inventé par la nécessité de justifier la « vengeance de Yahvé », principe destructeur qui est le fondement du judaïsme.
Représentant la majorité d’un peuple qui vivait en ségrégation, les Israélites s’établirent dans le nord du pays de Canaan. La tribu de Juda, circonscrite par les cananéens originels, apparut dans le sud. Ceci explique l’origine des termes « judaïsme » et « juif ».
Dès le début, cette tribu fut isolée de ses voisins et ne s’entendit jamais avec eux. Elle est entourée de mystère, y-compris quant à son origine. Elle semble plus avoir été expulsée que choisie. Et à mesure des éditions successives des « Saintes Ecritures » rédigées par ses scribes – qui écrivaient ce qui les arrangeait – apparurent, toujours plus fréquents au cours des siècles, les ordres de « complètement détruire », « niveler », « exterminer » etc.
Les Israélites s’étaient alors distanciés des croyance racistes de la tribu de Juda et s’étaient mélangés au reste de l’humanité, ce faisant, ils disparurent en tant que peuple constitué cependant que la tribu se prémunissait des métissages par de strictes lois raciales.
A mesure de temps ces lois furent affinées et complétées jusqu’à régler les détails les plus petits et les plus anodins de la vie quotidienne. Les sanctions encourues en cas de désobéissance étaient sévères, et les « juifs » de base passèrent totalement sous la férule des scribes. Cette ghettoïsation de l’esprit constitua le fondement de la ghettoïsation physique et engendra, par manière de vengeance, le rejet des juifs par les autres peuples et leur hostilité à leur égard.
- La Controverse de Sion : découvrir auteur et résumé; lire en ligne, télécharger pdf
(Dans La controverse de Sion, l’auteur s’emploie à démontrer qu’un projet biblique cherche à être atteint par un groupe politique, dont l’idéologie est celle de l’Ancien Testament. Ce projet consiste à détruire toutes les nations, pour mettre un gouvernement mondial en place.) (source)
On constate d’emblée que l’anti judaïsme est somme toute une réaction toute naturelle de défense face à un groupe hostile, raciste, aux ambitions de domination. Avec cette simple connaissance, l’accusation pratique et manipulée d’antisémitisme vous fera dorénavant moins d’effet ?
S’il fallait creuser la question j’ai composé ces dossiers à cet effet :
Les Dessous de l’antisémitisme
Les Dessous de l’antiracisme
Notons tout de même qu’ici sont concernés les juifs sionistes et les juifs talmudistes ; pour connaitre (et vivre avec) des juifs non pratiquants, je peux attester qu’il n’y a pas une volonté cachée, telle que décrite précédemment, chez tous les juifs. Et ici j’ajouterai que n’ayant pas encore étudié le contenu de la Torah, je ne peux me prononcer sur la possibilité que tous les juifs pratiquants soient ou non exempts d’arrières pensées malsaines. Je ne puis parler que du peu glorieux « talmud » à l’heure où j’écris ces lignes.
S’il fallait s’en persuader, j’ai ici compilé un dossier à cet effet :
Les Dessous du talmud
Comme quoi avoir des livres n’exclue pas d’être un parfait connard
Un exemple, cependant : Au cas où les Goïm (ou « goys », ou « Gentils », c’est à dire les « non Juifs ») ne trouveraient pas de but dans la vie, le grand rabbin séfarade israélien Ovadia Yosef (l’une des plus hautes autorités spirituelles juives dans le monde) – récemment décédé – est là pour les aider: dans son sermon du 16 octobre 2010, le rabbin Yosef a révélé le seul but des Gentils :
« Les Goïm sont nés seulement pour nous servir. Sans cela,
ils n’ont pas de place dans le monde. »
J’ai longtemps pensé que seuls les sionistes (des juifs et des non juifs prônant la colonisation de la Palestine) étaient critiquables, voir des ennemis; je me trompais, ils ne sont pas les seuls, les talmudistes sont carrément un danger juif immédiat.
On comprend maintenant que des juifs aient envie, et recommandent, de tourner les talons à cette curieuse façon de penser. Extrait d’une interview d’Israël Adam Shamir:
Quelles sont les étapes de votre découverte du christianisme ? Je suppose que ce sont des auteurs chrétiens qui vous ont amené à la conversion ?
Israël Adam Shamir – Ma critique du sionisme et du judaïsme s’est approfondie au fur et à mesure que l’État d’Israël révélait sa nature catastrophique. Il est arrivé un moment où j’ai compris que si je voulais rejoindre sans aucune réticence le camp de l’humanité, il fallait que je franchisse le pas. Mais je n’avais aucune culture chrétienne, comme les Soviétiques en général. C’est par révélation que je me suis retrouvé chrétien, à 53 ans. (…)
Ou encore de l’écrivain Shlomo Sand et de ses ouvrages
(A découvrir ici: https://explicithistoire.wordpress.com/re-histoire/shlomo-sand/) :
je me retrouve, pieds et poings liés, pris au piège de mon identité démente.
Shlomo Sand
Et pour terminer, cette citation d’un autre juif, Bernard LAZARE :
« Je n’approuve pas l’antisémitisme, c’est une conception étroite, médiocre et incomplète, mais j’ai tente de l’expliquer. Il n’était pas ne sans causes, j’ai cherché ces causes. Ai-je réussi a les déterminer ? c’est à ceux qui liront ces pages d’en décider. Il m’a semblé qu’une opinion aussi universelle que l’antisémitisme, ayant fleuri dans tous les lieux et dans tous les temps, avant l’ère chrétienne et après, à Alexandrie, à Rome et à Antioche, en Arabie et en Perse, dans l’Europe du Moyen age et dans l’Europe moderne, en un mot, dans toutes les parties du monde il y a eu et il y a des Juifs, il m’a semblé qu’une telle opinion ne pouvait être le résultat d’une fantaisie et d’un caprice perpétuel, et qu’il devait y avoir a son éclosion et à sa permanence des raisons profondes et sérieuses. »
L’ANTISÉMITISME, SON HISTOIRE ET SES CAUSES [PDF]
2. Le judaïsme face aux Chrétiens et Musulmans
Islam :
Sabbataï Tsevi (est) le fondateur d’une secte juive qui a infiltré l’islam en 1666 en Turquie, qui était le siège de l’Empire ottoman. Cette secte existe toujours et est connue sous le nom de Dönme ou Donmeh en Turquie (voir documentaire plus bas). Il est très important (…) de comprendre la doctrine destructrice des sabbataïstes et leur objectif final car de nos jours ces personnes se trouvent aux plus hauts postes des États du monde (…). Ce sont eux aussi qui sont à l’origine du génocide arménien et de la chute du Califat musulman avec l’aide de la franc-maçonnerie. D’ailleurs une large partie de l’occultisme de la franc-maçonnerie est basée sur des rites sabbataïste car le sabbataïsme va aussi infiltrer le christianisme en Europe à travers le frankisme, qui n’est qu’une autre forme du sabbataïsme. Le frankisme vient de Jacob Frank qui se présente comme étant la réincarnation de Sabbataï Tsevi environ un siècle plus tard.
Pour faire un court résumé, Sabbataï Tsevi va se déclarer le Messie des juifs et la majorité des juifs du monde croiront en lui malgré le fait qu’il se soit mis à abolir les lois et interdictions contenues dans la Torah. L’ampleur du mouvement sabbataïste sera telle que l’économie de plusieurs pays sera paralysée car étant des commerçants très riches, les juifs arrêteront leur activités croyant l’époque messianique proche. Le Sultan Musulman à Constantinople fera arrêter Sabbataï Tsevi et lui demandera d’accomplir un miracle pour prouver qu’il est le Messie; dans le cas contraire il sera mis à mort sauf s’il se converti à l’islam. Sabbataï n’étant pas un vrai Messie se convertira faussement à l’islam avec ses adeptes et infiltreront l’islam en Turquie qui est le centre du pouvoir du Califat ottoman. (source corrigée)
« En prétendant se convertir, beaucoup de satanistes infiltrèrent et subvertirent toutes les religions, les organisations et les gouvernements importants. Ils sont les ancêtres des Illuminati, du Sionisme, du Communisme, ainsi que du Fascisme et ils contrôlent la Franc-maçonnerie. Le Nouvel Ordre Mondial est leur but. En 1981, le rabbin Gunther Plaut décrivit le fondateur des Illuminati Jacob Frank dans un roman, et reconnu implicitement que les Nazis étaient sabbatéens. » Henry Mackow (texte complet dans Les Dessous du credo Sabbataïste-Frankiste)
Les Juifs et les Chrétiens sont-ils des frères ?
Extrait de l’Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars
Compte tenu de ce que nous savons maintenant, quel peut être le degré de sincérité de toutes les paroles mielleuses qu’on entend dans les « mouvements de fraternité entre les Juifs et les chrétiens », ou dans les « mouvements promouvant une communauté de foi entre les Juifs et les chrétiens » ? Ces mouvements qui pullulent littéralement, sont en train de dévaster toutes les nations. Si les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) qui sont dans ces mouvements, utilisent le Talmud comme règle de leurs activités politiques, économiques et sociales, quel peut être le degré de sincérité de tous les serments, les vœux ou les promesses qu’ils pourraient être amenés à faire ? Ce serait pour le coup un geste sans pareil de « fraternité » et de « communauté de foi », si la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs parvenait à expurger du Talmud la multitude des passages attaquant directement le Christ, les chrétiens ou le christianisme. Au prix d’un grand nombre de millions de dollars, cette Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs est en revanche parvenu à expurger du Nouveau Testament, les passages que les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) considéraient comme « une offense à leur foi ». Une grande partie des fonds nécessaires furent amenés par les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés). Les Chrétiens devraient donc maintenant réunir eu aussi un petit pactole, afin d’expurger du Talmud les passages outrageant la foi chrétienne, car sinon, de tels mouvements de « fraternité » ou de « foi commune » ne servent qu’à tourner le christianisme en dérision. Et pendant qu’elle y est, la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs pourrait jeter un coup d’œil sur les millions de dollars investis aujourd’hui par les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), pour s’assurer que le Talmud reste bien le seul axe des activités politiques, économiques, culturelles et sociales de tous leurs coreligionnaires d’aujourd’hui et de demain. Car, violant les principes de base de toute « fraternité » et de toute « communauté de foi », les Juifs (prétendus ou autoproclamés) dépensent des millions de dollars chaque année, pour équiper des centres où le Talmud pourra être inculqué au plus profond du cerveau de leurs enfants. Ces quelques nouveaux articles ont été choisis parmi les centaines d’autres qui apparaissent quotidiennement dans les journaux du pays :
- « Deux nouveaux Centres d’Enseignement Israélite, dont la construction a coûté 300 000 $, seront ouverts le mois prochain, ils pourront accueillir 1 000 étudiants pendant la semaine, et permettront également d’ouvrir une École du dimanche, cette annonce nous vient de l’association La Torah du Talmud. » [Herald Tribune de Chicago, 19/08/1950.]
- « Le Département de l’École Yeshiva offre maintenant un programme complet d’anglais/hébreu, conforme à l’enseignement rabbinique. Les cours iront de la classe 1 jusqu’à la classe 5 (de 5 ans et demi jusqu’à 10 ans). La section Talmud–Torah de l’après midi a ouvert une nouvelle classe pour l’enseignement de base, elle reçoit les débutants comme les enfants qui sont déjà avancés dans l’étude. » [La Voix Juive, 18/09/1953.]
- « UN RABBIN PARLE DU TALMUD AUX HOMMES DE PAIX. Le Docteur David Graubert président des rabbins de Bet Din, et professeur de littérature rabbinique à l’Université des Études Juives, va présenter la première de ses quatre conférences dont le thème général est : Le Monde du Talmud. » [Chicago Tribune, 59/10/1953.]
- « LE MARYLAND RECONNAÎT DES DEGRÉS UNIVERSITAIRES ET UN DIPLÔME DANS LA CONNAISSANCE DU TALMUD. Baltimore. Le Comité Fédéral d’Éducation du Maryland a autorisé le Nouveau Collège Rabbinique d’Israël à décerner une licence et un doctorat es Loi talmudique. » [La Voix Juive, 01/09/53.]
- « DES COURS DE TALMUD À L’ANTENNE DEPUIS JÉRUSALEM. Les conférences sur le Talmud radiodiffusées chaque semaine en anglais seront bientôt disponibles sur cassettes dans tous les États-Unis et le Canada, la dépêche est tombée aujourd’hui. » [La Voix Juive de Californie, 11/01/1952.]
Mon cher Docteur Goldstein, vous vous souvenez sans doute d’avoir lu un peu plus haut une citation d’un des spécialistes les plus autorisés sur le Talmud, et selon laquelle : « le Juif moderne est un produit du Talmud. » Seriez-vous surpris d’apprendre qu’un bon nombre de chrétiens sont également le « produit du Talmud » ? Eh oui, les enseignements du Talmud sont acceptés par des chrétiens du plus haut échelon hiérarchique… Je n’aurais besoin que d’un seul exemple pour vous en persuader, celui du dernier Président des États-Unis d’Amérique. En 1951, on a offert pour la seconde fois au Président Truman[1], l’ensemble des 63 livres composant le Talmud. À cette occasion un journal rédigea l’article suivant :
[1] Truman est le président qui a ordonné sans nécessité militaire le largage de deux bombes atomiques sur le Japon, quatre mois après son élection.
« Monsieur Truman nous a remerciés pour les livres, et a déclaré qu’il était très content de les avoir, il a même ajouté le mot suivant : “Il y a quatre ans on m’a offert les mêmes, et j’ai pu en lire bien davantage que ce que les gens pensent”. Il nous a dit qu’il lisait beaucoup, et que le livre qu’il lisait le plus était le Talmud qui contient, nous a-t-il dit : “un bon paquet de raisonnements très sains, et une bonne philosophie de la vie !” ».
Ainsi, notre dernier Président nous dit qu’il tire bien des avantages de ce livre « qu’il lit le plus », et qui contient « un bon paquet de raisonnements très sains », ainsi « qu’une bonne philosophie de la vie »… Et plus récemment, alors qu’il était encore en fonction, les déclarations de notre dernier Président dénotent chez lui une connaissance véritable du Talmud ; toute personne qui connaît le Talmud pourra le discerner très vite. Mais notre dernier Président sait-il que Jésus-Christ n’avait pas le même sentiment que lui sur le Talmud ? Ce « bon paquet de raisonnements très sains », et cette « bonne philosophie de la vie », étaient en permanence dénoncés d’une manière des plus vives par Jésus-Christ, et en des termes non équivoques. Monsieur Truman va-t-il nous dire lui aussi, que le Talmud était cette « sorte de livre » de laquelle Jésus-Christ « tira les enseignements qui lui ont permis de révolutionner le monde » ?
Avant de quitter le sujet du Talmud, j’aimerais faire référence à l’analyse la plus authentique de toutes celles dont ce texte a été l’objet ; et je crois que vous devriez vous en procurer une copie, vous ne le regretterez pas. Le nom de l’ouvrage dont je vais parler est tout simplement : Le Talmud. Il a été écrit il y a presque un siècle par Arsène Darmesteter, un Français. En 1897 il a été traduit en anglais par la célèbre Henrietta Szold, et publié par la Société de Publications Israélites d’Amérique, à Philadelphie. Henrietta Szold était une enseignante de prestige, elle faisait partie des sionistes du début, et était l’une des « Juives » les plus remarquables de ce siècle (prétendues ou autoproclamées telles). La traduction par Henrietta Szold du livre d’Arsène Darmesteter est un classique. Vous ne comprendrez jamais le Talmud tant que vous ne l’aurez pas lu. Je vais en citer de courts extraits :
« Aujourd’hui le judaïsme trouve sa plus parfaite expression dans le Talmud ; ce livre n’a pas influencé le judaïsme d’une manière éloignée, le judaïsme n’en est pas non plus qu’un léger écho, mais le Talmud s’est incarné dans le judaïsme, et le judaïsme a pris forme dans le Talmud, passant ainsi de l’état d’abstraction à la réalité. L’étude du judaïsme est celle du Talmud, tout comme l’étude du Talmud est celle du judaïsme, (…) ce sont deux choses inséparables, mieux, ce sont une seule et même chose (…). Par conséquent, le Talmud est l’expression la plus complète de notre mouvement religieux, et ce code de prescriptions sans fin et de cérémonials minutieux, représente dans sa plus grande perfection le travail total de l’idée religieuse (…). Ce miracle s’est réalisé dans un livre : le Talmud (…). Le Talmud, en revanche, est composé de deux parties distinctes, la Mishna et la Gemara ; la première est le texte proprement dit, la seconde est le commentaire du texte (…). Par le terme Mishna, on désigne un recueil de décisions et de lois traditionnelles, comprenant TOUTES LES BRANCHES DE LA LÉGISLATION, QUE CE SOIT SUR LE PLAN CIVIL OU RELIGIEUX (…) ; ce code était le travail de plusieurs générations de Rabbins (…). Rien ne peut égaler l’importance du Talmud, si ce n’est l’ignorance qui prévaut à son sujet (…). Une seule page du Talmud peut contenir des passages rédigés en trois ou quatre langues différentes, ou plutôt, des passages rédigés en une seule langue fixée à différents niveaux de sa dégénérescence (…). Souvent, une Michna de cinq ou six lignes est suivie de cinquante ou soixante pages de commentaires (…). C’est la Loi dans toute son autorité ; elle constitue le dogme et le culte ; c’est l’élément fondamental du Talmud (…). L’étude quotidienne du Talmud qui, chez les Juifs, commence à l’âge de 10 ans, pour ne se terminer qu’avec la vie elle-même, constitue nécessairement une rude gymnastique pour l’esprit, grâce à laquelle celui-ci acquiert une subtilité et un flair incomparable (…) puisque le Talmud n’aspire qu’à une chose : devenir pour le judaïsme une sorte de “ corpus juris ecclesiastici ”. » (Souligné par nous[3].)
[3] En capitale, dans le texte original.
Les citations qui précèdent ont été tirées de ce traité qui visait principalement à édulcorer le Talmud. Malgré tout, en dépeignant une image bien gentille du Talmud, l’auteur n’a pas pu s’empêcher de mentionner également les faits que nous avons soulignés. Or venant d’une telle source, je me demande comment cet auteur peut penser que de telles déclarations puissent nous porter à avoir désormais bien de l’estime pour le Talmud.
- A ce stade, il est nécessaire de faire plus amples connaissances avec Benjamin Freedman, ex juif sioniste repenti : https://explicithistoire.wordpress.com/benjamin-h-freedman/
3. Révolution mondiale, sionisme et gouvernement mondial
La religion chrétienne étant l’ennemie intime du judaïsme, les rois et les peuples étant parfois hostiles aux juifs, ceux-ci voulurent changer le cours des choses. Abattre ses ennemis devint la priorité du judaïsme.
La révolution mondiale, qui a détruit, au cours de ce siècle , la civilisation humaine à un point inconcevable à ce jour, ne fut que l’un de deux mouvements révolutionnaires qui se répandirent sur le monde comme une épidémie de peste, cette même semaine d’octobre 1917 (Voir « Les dessous du communisme« , Ndrl). Les deux mouvements furent initiés par les juifs de l’Est guidés par le Talmud. La révolution mondiale correspond aujourd’hui à l’apogée de la conquête judaïque du monde. La défaite de la révolution n’est qu’apparente. Cette dernière continue à ressortir ses effets en sous-main, sans les soviétiques, mais toujours avec la Chine, exemple de société d’esclaves menés par la terreur, avec des agents du judaïsme solidement positionnés aux postes les plus importantes du monde. La promotion des « valeurs spirituelles » continue, notamment dans la Communauté européenne. Et son frère jumeau, le sionisme révolutionnaire continue de monter en puissance en vue de la mise en place du grand israël (« Eretz israël ») qui doit s’étendre, du Nil à l’Euphrate, sur l’ensemble du « territoire originel » avec le rassemblement en cet endroit de l’ensemble des « juifs » du monde ; Jérusalem devenant la capitale du monde et le centre de « la Paix mondiale et du Gouvernement mondial ».
L’ensemble repose sur le Pentateuque de l’Ancien Testament, complété par le Talmud, qui instituent la prédestination du « peuple élu » pour l’extermination ou la soumission de toutes les autres nations. Les chefs sionistes ne doutent pas un instant de cette prédestination. Comme pour une opération militaire, les deux groupes [révolutionnaires] travaillent de concert avec un degré de synchronisation incroyable en vue de cette domination totale par un Gouvernement mondial. Le temps de sa réalisation n’est plus très éloigné. Nous le voyons progresser chaque jour : l’ONU , l’OTAN, l’UE, l’OMC, les traités et les conventions internationaux, les Cours internationales dotées de juridictions supra-étatiques et les centaines – pour ne pas dire les milliers – de fusions internationales et de prises de contrôle dans le monde des affaires.
L’idée d’un Gouvernement mondial trouve aussi son fondement dans l’Ancien Testament et dans le Talmud. C’est le « peuple élu » qui arrange les choses selon les textes, avec le reste du monde pour esclave. Les succès les plus magistraux des deux mouvements eurent lieu dans les périodes de désordre vers la fin des deux guerres mondiales et tout après celles-ci ; périodes de désordres initiées par les chefs de ces deux mouvements. Les seuls à sortir vainqueurs des deux conflits mondiaux furent la Révolution et le sionisme, au milieu des souffrances inconcevables qui en découlèrent.
- Extrait du dossier composé Les Dessous du Mouvement révolutionnaire mondial
Si cette thématique passionnante vous interpelle, vous pourrez vous tourner vers ces dossiers :
- Les Dessous du Communisme
- Les Dessous de la Révolution anglaise
- Les Dessous de la Révolution française
(& Les Dessous de la République et de sa Révolution maçonnique) - Les Dessous de la Révolution américaine
- Les Dessous de la Révolution russe
- Les Dessous de la Révolution espagnole
- Les Dessous de la révolution chinoise
- Falsification de l’histoire: Le pouvoir des mensonges
4. Société des nations, israël, esclavage monétaire
et nouvel ordre mondial
Faisons ici un distingo entre le mondialisme et la mondialisation : si cette dernière est naturelle, le mondialisme est lui cette marche forcée vers la finalité non-avouée expliquée ici. Laissons d’abord Pierre Hillard expliquer cette différence.
L’unification du monde autour d’un gouvernement mondial est en voie de finalisation ; les institutions sont déjà là [ONU, OMC, OMS, FMI, Banque mondiale, BRI]. L’Europe est une étape vers une fusion plus globale, elle est un laboratoire du mondialisme pour la centralisation du pouvoir. En Europe, les États ne sont déjà quasiment plus souverains, ils doivent s’adapter aux exigences de l’Union Européenne (on le voit avec la récente loi travail qui n’a rien de française, ou belge, elle émane d’une directive européenne et sera imposée par des gouvernements de gauche en France comme de droite en Belgique).
Le mondialisme a cependant des racines religieuses chez les juifs. On pourra dire ici que chacune des trois religions monothéistes a, ou a eu, sa propre vision hégémonique de son dogme. Pour être plus précis encore, chrétiens et musulmans peuvent avoir (eu) une envie de prosélytisme, de conversion généralisée à ses propres dogmes. Avec le succès limité qu’on leur connait. Mais qu’en est-il des juifs ?
Le messianisme juif (voir fiche wiki) ainsi que le suprématisme talmudique en général, indiquent le projet en cours de domination finale sur le reste de l’humanité. Bien entendu, « pour le bien de tous ». Nous autres, pauvres goyim (non-juifs), ne serions pas conscients de cette impérieuse nécessité qu’un peuple-roi régna enfin sur un monde en paix, unifié dans la culture juive.
- En rapport avec ce messianisme, vous ne devriez pas faire l’impasse sur Les Dessous eschatologiques actuels.
Le judaïsme est la seule religion monothéiste qui ne cherche pas, à priori, à convertir les autres à sa religion. Cette secte est même plutôt hermétique aux non-juifs. Mais la volonté de judaïser les esprits, et donc de faire abandonner aux autres leurs croyances, est un des objectifs du judaïsme. Intervient ici la « laïcité » vigoureusement promue par la franc-maçonnerie, d’essence juive.
Les peuples doivent abandonner leurs nations, leurs croyances, le monde doit être unifié autour d’un israël rayonnant. Nous comprenons, dès lors, pourquoi l’étrange juif Jacques Attali (conseiller de présidents de droite comme de gauche) rêve publiquement d’une Jérusalem, capitale du nouvel ordre mondial. Les cultures diverses doivent s’uniformiser, les frontières disparaitre. Le judaïsme dissolvant n’a donc de cesse que de promouvoir le multiculturalisme, le métissage (souvenons nous ici d’un Sarkory expliquant que le métissage n’était pas une option), en vue d’araser les différences entre les peuples. L’ennemi de la diversité (ce qui fait traditionnellement la richesse des cultures ..) est donc ce judaïsme destructeur. On comprendra donc les notions d’antiracisme déjà évoquées ici… On ne doit pas s’opposer au melting-pot imposé.
Le Mondialisme… Son vrai visage est judéo-sioniste
Par Hervé Ryssen, écrivain français nationaliste judéophobe
Antifascisme, israël et crypto-juifs d’Internet
A retenir: antifasciste peut, selon comment est revendiqué le terme, avoir 2 significations :
Pour ceux que je dénonce comme faussement antifascistes, un « fasciste » serait aujourd’hui (car ce n’est pas vrai quelques dizaines d’années en arrière, la définition ayant changé entre-temps -Mussolini et Hitler n’existant plus-) toute personne souverainiste (selon eux, donc). De plus, des petits malins crypto-juifs se cachant derrière l’appellation « antifasciste » (sans signer leurs écrits) qualifieront de « fasciste » tous ceux qui critiquent la politique israélienne, qui nomment un jour Rothschild, ou tous ceux qui auront compris l’essence talmudique du Grand Complot.
Pour moi, l’antifascisme que je prône est le ciblage des vrais « fascistes » de notre temps : l’oligarchie mondialiste, la noblesse d’argent (ces banquiers internationaux apatrides qui restent en coulisse, Rothschild en tête), les néo-cons américains et les technocrates européistes, aidés par certains pans gauchistes qui se revendiquent paradoxalement parfois comme « antifa(scistes) ». Et, bien sûr, les juifs sionistes israéliens souhaitant l’épuration arabe de Palestine occupée, ou, plus globalement, les juifs extrémistes / suprématistes.
Pour bien comprendre la complexité de la notion / manipulation par certains prétendus « antifas », ces deux photos sont assez explicites (cliquer pour lire la légende en entier) :
Les juifs orthodoxes de Neturei Karta brûlent encore un drapeau israélien à Londres, en 2016 [cliquer pour voir la vidéo]
MÊME en Palestine occupée / israël, des juifs sont antisionistes et contre le racisme de l’état juif. N’oublions jamais que de part le monde, nombre de juifs pratiquants et non-pratiquants sont antisionistes (donc contre la colonisation juive de la Palestine). Donc, et c’est cela qu’il faut retenir : la plupart du temps, la notion d’antifascisme / antifa est manipulée dans nos pays par des crypto-juifs, c’est-à-dire par des juifs qui ne se revendiquent pas comme tel, mais qui utilisent cette notion pour embrigader des jeunes à des fins pro-sionistes, et donc pro-colonialistes. Et souvent aussi pour museler tout discours souverainiste dans les pays divers (SAUF pour israël et son « droit légitime à coloniser », selon eux. Un inversion totale des valeurs, en fin de compte.
« Les fascistes de demain s’appelleront eux-même antifascistes », disait une personne inspirée… Elle avait bougrement raison… Mon travail sur l’antifascisme (et donc une partie de la raison d’être du blog Activeast) semble donc s’arrêter ici…
Connexe :
- https://explicithistoire.wordpress.com/tag/nouvel-ordre-mondial/
- https://susauxbanques.wordpress.com
- Chaîne youtube de Hervé Ryssen [et sa bibliographie]
La judéophobie est somme toute naturelle, pour qui a pris conscience de tout cela. Car le savoir et continuer à jouer le jeu du « tous unis contre la haine » est une sorte d’auto-émasculation. Mais le courage, de nos jours, de l’affirmer haut et fort manque cruellement de toutes parts.
La judéophobie est une aversion pour la religion juive (rappelons qu’actuellement, il est courant, voir « normal » et encouragé d’être christianophobe ou islamophobe, de nos jours en France ou ailleurs). Il est donc plus que légitime d’être judéophobe, là où nos ennemis préfèrent vous taxer d’antisémitisme, ce qui est une grossière manipulation, une erreur et un piège étymologique, comme nous l’expliquons dans
Annexes & bonus divers
Autres lectures recommandées
Quel juif errant ?
Ce livre est ainsi le fruit de dix ans de réflexion sur les questions de l’identité face au regard de l’autre, sur le paradoxe dans lequel s’enferment les Juifs laïcs, et sur le retour au ghetto auquel a finalement abouti la création d’Israël. Des textes bibliques aux discours des représentants des lobbies sionistes poussant à la guerre, en passant par le culte de l’Holocauste, Gilad Atzmon brosse ici un tableau cohérent de ce qui est au cœur d’une judéité qui, ayant perdu sa dimension spirituelle sans renoncer à l’Élection, n’a pas réussi à forger une philosophie qui permettrait à la communauté juive d’intégrer tout simplement la grande famille humaine. (source & achat)
Citation d’un texte de Gilad Atzmon :
Le slogan accrocheur du poète de culture hébraïque Judah Leib Gordon, « Sois un juif sous ta tente mais un homme dans la rue », souvent attribué à tort à Moïse Mendelssohn, met l’accent sur l’approche malhonnête de la Haskala. Le juif de la Haskala est là pour mentir au goy dans la vie publique, en prétendant faire partie d’une humanité ordinaire et post-tribale. En réalité il ment aussi à Dieu en privé en prétendant être un bon juif. Par quoi ce mensonge est-il motivé ? L’acceptation. C’est particulièrement triste car il faut avoir conscience que c’est le juif de la Haskala qui a provoqué l’opposition européenne, qui a très tôt évolué en antisémitisme institutionnel, qui a lui-même fini par aboutir à la Shoah.
(Gilad Atzmon, La Haskala ou la culture du mensonge)
Cliquer pour agrandir et voir le lien vers la fiche de lecture et parfois le PDF :
Qu’est ce que c’est le Parlement juif européen?
Ils falsifient l’information à leur avantage
L’exemple par Wikipedia : La célèbre encyclopédie en ligne bien pratique, Wikipédia, est collaborative. Cela signifie que vous et moi pouvons y éditer les pages. Y compris des gens peu scrupuleux, idéologiquement attirés par la (re)définition de l’Histoire pour servir des intérêts. Un rare aperçu vidéo témoigne de groupes sionistes présents sur Wikipédia de manière industrielle, pour modifier les pages au profit de l’entité colonialiste, et sûrement plus. (lire Les Dessous de Wikipedia)
En lien, sur le réseau Activeast :
Déjà épinglé sur le blog :
- Qui sont les vrais vecteurs d’antisémitisme en France ?
- … et beaucoup d’autres
Et sur mon site de ré-histoire, l’Amer Dessous des Cartes :
- https://explicithistoire.wordpress.com/tag/judaisme/
- Personnalités juives antisionistes, repenties ou négationnistes :
- https://explicithistoire.wordpress.com/re-histoire/roger-dommergue-polacco-de-menasce/
- https://explicithistoire.wordpress.com/re-histoire/gilad-atzmon/
- https://explicithistoire.wordpress.com/re-histoire/benjamin-h-freedman/
- https://explicithistoire.wordpress.com/re-histoire/shlomo-sand/
- https://explicithistoire.wordpress.com/re-histoire/israel-shahak/
- https://explicithistoire.wordpress.com/re-histoire/israel-adam-shamir/
Et enfin (pour pas tout coller), à ceux qui n’ont que le mot conspirationnisme à la bouche pour qualifier ce genre d’argumentation documentée : Les Dessous du « conspirationnisme »
Il y avait tellement plus à dire, à ajouter, qu’il fallait faire un tri. C’est pourquoi tous ces liens sont proposés. C’est long, mais nécessaire. Si vous êtes arrivé jusqu’ici, vous devez forcément avoir des choses à dire ? N’hésitez pas à laisser un commentaire, et à partager autour de vous si vous êtes assez solide pour vous cramer socialement !
Paix aux hommes et femmes de bonnes volonté, de toutes confessions et races qui existent. Nous vaincrons.
Cédric Marchal
(alias « Ced Activeast », « Ced Globalchange », etc..)