Voilà quelques mois que j’ai vu ce film et qu’il est sorti en salle. On en a pas mal parlé ici et là, bon, ok, je ne suis pas très originale mais ça me fait plaisir de le partager avec vous
Vous l’aurez peut-être déjà vu, apprécié ou détesté mais allez, hop, je me lance pour ceux qui en n’ont jamais entendu parler.
1963, Cambridge, ville universitaire par excellence. Stephen est un jeune étudiant avide de connaissances et presque prodige. Amateur invétéré de cosmologie, il compte bien résoudre quelques un des mystères de l’univers.
Les jours passent, les cours se succèdent et l’amour toque à sa porte.
Jusqu’au jour où il découvre qu’une maladie dégénérative le touche et qu’il lui reste que peu de temps à vivre.
Un combat commence donc, tantôt désespérant, tantôt dynamisant. Stephen verra sa vie changer de mois en mois…
Un long-métrage lumineux. Malgré les sujets délicats qu’il aborde, j’ai été touchée par les événements décrits dans cette fiction qui, de surcroît, ont existé. La réalisation, la mise en scène y sont sublimes.
Plus encore qu’un drame, c’est un film d’ambiance, un film dont on sort plus instruit, plus humble et moins pessimiste. Les acteurs ont été choisis avec précision et collent très bien aux situations presque toutes plus compliquées les unes que les autres.
Que vous ayez été ou non à Cambridge, vous vous régalerez avec les décors dans lesquels se passe l’histoire.
Un film à découvrir pour son côté scientifique, la véracité des faits et l’esthétisme d’une mise en scène à tomber.
Une merveilleuse histoire du temps, James Marsh, 2015