SUITE DE MES RESUMES TRADUITS
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12 : UNE GLACE D EAU CHARGEE MAGNETIQUEMENT .....
'Magnetic-charge ice' slides into view
Frustrated material could lead to better computer memories
Ice sculpture: red is positive magnetic charge and blue is negative
Un nouveau matériau appelé " glace de charge magnétique» vient d’être créé par des physiciens aux États-Unis. Les propriétés magnétiques du matériau peuvent être manipulées à l'échelle du nanomètre et le matériel pourrait un jour être utilisé pour coder des données à des valeurs de densités plus élevées que celles des mémoires magnétiques actuelles. Les techniques utilisées pour créer et contrôler le nouveau matériau pourraient également conduire à la réalisation d'autres systèmes magnétiques artificiels.
La glace d'eau a une structure tétraédrique qui est déformée de telle sorte que chaque atome d'hydrogène est décalée soit vers ou à l'opposé de son atome d'oxygène le plus proche. Le chimiste Linus Pauling a postulé en 1935 que, dans l'état du réseau d'énergie le plus bas, chaque atome d'oxygène a deux protons rapprochés et deux qui se sont éloignés. Cette contrainte ne peut pas simultanément être satisfaite partout, ce qui peut faire de la glace un système "frustré". Pour d'autres matériaux, tels que certains réseaux cristallins de minéraux, les spins atomiques suivent également les règles de la glace de Pauling et ont été surnommés "glaces de spin».
En 2006, des chercheurs dirigés par Peter Schiffer de l'Université d'État de Pennsylvanie ont créé une glace de spin artificielle en utilisant des particules ferromagnétiques nanométriques pour les spins atomiques individuels. Cela leur a permis de mesurer les orientations des aimants individuels et de proposer des images directement de la physique de cette frustration. Par la suite, les chercheurs ont montré que les glaces de spin peuvent être étudiées indépendamment des orientations spécifiques de domaines individuels simplement en les considérant comme réseaux de pôles nord et de pôles sud, qui sont considérés comme des charges magnétiques positives et négatives, respectivement.
Recemment le physicien en matériaux Yong-Lei Wang et ses collègues de l'Argonne National Laboratory dans l'Illinois ont créé un arrangement de nanoaimants qui, lorsqu'il est placé dans un champ magnétique axial, donne lieu à une glace magnétique chargée avec le même réseau carré de charges positives et négatives magnétiques que la glace de spin originale de Schiffer. Cela se produit même si les motifs des domaines magnétiques sont complètement différents de celles des charges magnétiques et ne respectent pas les règles de glace de Pauling. Par conséquent, une conclusion importante de cette recherche est qu'il n'y a pas d'arrangement unique de spins pour un arrangement donné de charges magnétiques. «Je dirais que les règles de glace ne sont pas pertinentes ici», explique Schiffer - maintenant à l'Université de l'Illinois à Urbana-Champaign - qui n'a pas été impliqué dans le nouveau travail.
MON COMMENTAIRE / J’avoue avoir été étonné par cette utilisation de nano aimants . Au sujet de l’eau j’en étais resté presque aux données universitaires de ma jeunesse …L’homme avait surtout eu à faire avec la densité de l’eau plus grande à l’état liquide que solide ( propriété rare ) , donc a une conséquence remarquable : la glace flotte sur l’eau liquide…… L’ingénieur en séparation isotopique par diffusion gazeuse d’UF6 avait travaillé avec acharnement pour s’ en débarrasser par pompage sous vide de ses 150 millions de barrières …Le chercheur ( controverse sur l’eau polymérisée) savait lui ( malgré tout) que l’explication physique du fait que l’eau solide soit moins dense que l’eau liquide provient de la structure cristalline de la glace, connue sous le nom de glace hexagonale Ih …..Mais qu’ il ne fallait pas trop s’y fier car par exemple la glace HDA et la glace VHDA sont toutes les deux plus denses que l’eau liquide pure. Dans ce cas, la raison pour laquelle la forme commune de la glace est moins dense dépend fortement des propriétés « élastiques » peu communes des liaisons hydrogène.
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13 / LES PROTONS BARBOTTENT AVEC PLAISIR DANS LA GELEE DES MOUSTACHES DE REQUIN!
Protons swim with ease through shark jelly
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Discovery could help to explain how some fish detect tiny electric fields
Des scientifiques américains ont découvert qu'un matériau de structure semblable à de la gelée dans la peau des requins et d'autres poissons présente la conductivité protonique la plus élevée jamais mesurée dans un matériau biologique. La gelée se produit dans les pores spéciaux qui aident les créatures à la chasse en détectant les champs électriques extrêmement faibles créés par la proie. En plus de fournir des indices importants sur la façon dont ce système sensoriel mal compris fonctionne, l'équipe croit que la découverte pourrait également conduire à la mise au point de nouveaux types de capteurs électriques.
Certains poissons, y compris les raies et requins, peuvent détecter des champs électriques aussi petits que 5 nV / cm, ce qui leur permet de détecter les contractions musculaires et autre activité physiologique dans une proie potentielle. Ils sentent les champs à l'aide des réseaux d'organes électrosensoriels dans leur peau appelés ampoules de Lorenzi (AoL). un AoL individuel comprend un canal qui est rempli d'une substance analogue à une gelée qui vient en contact avec l'environnement extérieur par l'intermédiaire d'un pore dans la peau de l'animal. L'extrémité intérieure du canal se termine dans un sac (ou "alvéoles") contenant des cellules qui transmettent les signaux électriques provenant de la gelée pour le système nerveux du poisson.
Cependant, les scientifiques ne sont pas arrivés à une bonne compréhension de la façon dont minuscules signaux électriques sont relayés le long de la AoL depuis l'environnement extérieur jusq’à l'alvéole. , Marco Rolandi de l'Université de Californie, Santa Cruz, et ses collègues ont découvert que AoL la gelée est un très bon conducteur de protons - quelque chose qui pourrait aider à expliquer comment il peut transmettre des champs électriques faibles
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Mon commentaire : Tres interessant …Mais je propose une ferme d’élevage des requins pour la traite ou la collecte de cette merveilleuse gelée si electro sensible : attention cependant aux dents en arriere !!!
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14 LES sursauts solaires ont ils allumé la vie?
Did solar superflares spark life on Earth?
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Huge storms on the Sun could have disrupted our planet's magnetic shield
Une tempête du jeune Soleil peut avoir fourni au début de la Terre les ingrédients et le climat nécessaires pour relancer la vie. C'est la demande de scientifiques de la NASA, qui disent que de puissantes éruptions solaires peuvent avoir réchauffé la Terre à un moment où le Soleil était encore relativement » frisquet » ! . Ils disent aussi que la vie qui donne l'approvisionnement de la Terre en l'azote a été synthétisée par des particules énergétiques du Soleil
Avoir une idée claire des conditions nécessaires à la vie pour émerger sur Terre est un objectif scientifique clé - à la fois pour retracer nos origines et mieux évaluer laquelle des milliers d’ exoplanètes maintenant connues pourraient maintenir la vie. Un point d'achoppement notamment dans le développement d'une image claire de la petite évolution de la Terre était qu'il ya quatre milliards d'années, lorsque les conditions de vie conviviale se développaient, le jeune Soleil n était peut etre pas assez lumineux pour réchauffer notre planète a travers toute la « bouillasse » ou brouillard interplanétaires qui aurait pu subsister encore :! Malgré son éveil tempétueux , le Soleil était de 30% moins « réchauffeur » qu'il ne l'est aujourd'hui.
«À l'époque, la Terre a reçu seulement environ 70% de l'énergie du Soleil qu'elle ne le fait aujourd'hui», dit le scientifique solaire Vladimir Airapetian au Goddard Space Flight Center de la NASA dans le Maryland. "Cela signifie que la Terre aurait dû être une boule de glace. Au lieu de cela, des preuves géologiques disent qu'elle était un globe chaud avec de l'eau liquide. Nous appelons cela le paradoxe « du faible jeune Soleil. "
Un autre problème réside dans le fait qu'un élément clé pour les blocs de construction de la vie est l’azote (N) - mais à ce moment-là de l'azote moléculaire réactif (N2) était seulement présent dans l'atmosphère. Un processus très énergique aurait été nécessaire pour briser l'azote moléculaire en azote atomique, ce qui lui permettait alors de se recombiner en plus biologiquement en des formes appropriées. Les dernières recherches par Airapetian et collègues montrent que les particules chargées des tempêtes solaires auraien t pu aussi bien casser l'azote et fournir la chaleur nécessaire à la vie.
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Mon commentaire : Je ne suis pas un physiologiste du règne végétal et m’abstiendrai de critiquer mais il me semble que l hypothèse est très hardie ( irradiation solaire de l azote pour la fabrication d amines puis d acides aminés)
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A SUIVRE