« aboli bibelot d’inanité sonore idéologique »
je laisse à votre sagacité personnelle tout comme à votre appréciation, dont il convient de ne surtout pas douter à priori en vertu de je ne sais quel complexe d’infériorité intellectuelle déplacée (« ce qui se conçoit bien s’énonce clairement« ) la lecture de ce qui suit. Ahurissant de vacuité idéologique, en effet. Je rêve de tenir le scripteur de ce moment d’enfumage aussi admirable qu’inédit face à moi un seul et court instant…
La fabrique du consentement en d’habiles détours sous les atours d’un concept particulièrement creux, c’est maintenant. A moins que l’auteur ne se soit inspiré lui-aussi des célèbres travaux du philosophe Botul. C’est à ça qu’on les reconnait, les libéraux : leur volonté de donner l’ illusion d’une grande profondeur pour habiller le vide intersidéral affligeant de leur non-pensée, qui n’est que croyance, une doxa, et par la volonté de ses adeptes, une secte qui pense dominer le monde. Eux seuls ne savent ni ne voient qu’ils sont au bord du grand vertige… Vestiges d’un monde dépassé. Mais bien sûr, il suffira comme à leur méprisable ordinaire de riposter que le con, c’est moi. Sourire…
Merci en tous cas à celui sans qui je n’aurais pas autant ri, ni ne me serais si bien amusé : Nicolas Vanderbiest sur twitter, dont je tiens à saluer la vigilance…
Nota bene : je comprends mieux (rires) :