Parce qu’il ne peut les identifier, tout simplement.
J’aime ce moteur, et pour l’instant, il me le rend bien. Savoir lui parler, c’est savoir être patient, et ne pas trop le brusquer en cas d’optimisation technique et éditoriale.
Comme certains d’entre vous, il m’arrive de « louer » (le terme « achat » me déplaît dans la mesure où l’espace n’est jamais garanti à vie) du lien. Comme pour de la location d’espaces (branding), la location de liens textuels et/ou images est un excellent moyen de faire progresser la visibilité naturelle d’un site Web. Et, sa notoriété !
La location de liens crée de la pseudo-spontanéité
Je ne vois pas comment Google pourrait le détecter … Même avec une équipe plus importante de « quality raters », les liens sont indétectables : de simples a href avec un intitulé varié et des destinations différentes, le tout pour créer de la pseudo-spontanéité.
Aux Etats-Unis, de nombreux confrères se sont engouffrés dans cette brèche. On les appelle les « smart link brokers ». Est-ce mal ? Evil ? Les résultats sont-ils biaisés par le manque de scrupules de certains référenceurs professionnels ? Je pense, pout tout vous dire, que la mobilisation d’un budget de location de liens nécessite de bien qualifier la cible : le site Web et sa thématique, son TrustRank, son PageRank, la page où se négocie le lien et le thème, le nombre de liens sortants, etc.
Le lien, un espace de publicité ?
Est-ce qu’un client acceptera de payer si le lien est de mauvaise qualité ? Est-ce qu’il acceptera de payer si la location de lien ne vise que le positionnement, au détriment du trafic utile généré ? Je serais tenté de penser que le lien n’est qu’un espace de publicité, et que se soustraire de Google est une excellente chose.
Si Google décidait de me sanctionner, alors il jetterait le bébé avec l’eau du bain …
Certains d’entre vous ont-ils des expériences à partager sur ce sujet ?