Alain Richard, ancien ministre de la Défense a estimé que "ces conclusions sont définies non pas par une vision stratégique mais par une logique budgétaire" et que " [cette décision de réduction du format] ne me paraît pas cohérente avec l'analyse des risques et elle vient simplement du fait que le pays a de sérieuses difficultés budgétaires".
Une armée de pays pauvre en fait.