Humour noir dans ma rue Marre de chez Marre. Marre est le nom d'une rue où j'habite depuis déjà un certain temps, je ne sais plus depuis combien de temps d'ailleurs. Mais cela a-t-il une importance lorsque l'on sait que le temps n'est plus dans l'espace-temps dans ma rue Marre de chez Marre ? Humour Noir s'est invité dans ma rue Marre de chez Marre pour revendiquer sa parenté avec l'espace Incompréhension Humaine.
Humour Noir dans ma rue Marre de chez Marre avec dame Intemporalité
Celle-ci se situe dans un espace temporel dans lequel je ne suis pas capable de vous en dire les positions en latitude et longitude. Pour moi, ma rue dénommée Marre de chez Marre se situe dans les sphères de l'Incompréhension Humaine. Humour Noir est passé par là pour brouiller les pistes. Et pour cause : je viens d'une planète ou la dimension temps n'existe pas.
Pour vous, une journée semble une éternité, pour moi cette même journée est comme une étincelle de minuscules secondes vous éblouissant un fugace instant comme l'éclair traversant le ciel pendant quelques infimes instants. La rue Marre de chez Marre est en train de fleurter avec Humour Noir (à mon insu !) et semble embarqué dans un tourbillon cosmique impossible à éviter au vu de la lecture de la carte du ciel en ce moment.
Humour Noir dans ma rue Marre de chez Marre doit faire face à une tempête cosmique hors du commun
Humour Noir dans ma rue Marre de chez Marre fait de la résistance
La rue Marre de chez Marre se voit confrontée à elle-même et commence un bras de fer avec Humour Noir. La rue Marre de chez Marre, déshabillée de son aura de serviteur, confrontée, d'un coup, au bien fondée de son existence sur cette terre, est comme devenue d'un seul coup hostile pour la rue de Marre de chez Marre.
Un gouffre s'est ouvert, comment l'accepter, comment y faire face, comment le combler ? Marre de chez Marre était pourtant bien préparée pour endosser ce nouvel habit, mais c'était sans compter avec cette montagne d'activités assumées durant toutes ses années, ces habitudes de vie au service de l'autre durant tant et tant d'années... Des siècles... ? Pour tout d'un coup, devoir tout arrêter.
C'est le choc ! Humour Noir se régale... On ne s'y attend pas, mais alors pas du tout. Même avec une préparation mentale, on se dit que ça va être facile, la fatigue ajoutée aux années aidant, on se dit qu'il est temps d'arrêter. Je me souviens du soulagement que j'ai éprouvé quand j'ai pris ma décision d'arrêter mon activité.
Sage décision qui m'a enlevé un sacré poids. J'avoue : je n'en pouvais plus, usée de tout ce temps d'activité au service de l'autre. Mais au combien soulagée d'avoir pris une décision pour assurer ma sauvegarde. Devant mon état de fatigue à chaque début de vacances, ma décision a tranché dans le vif pour sonner la cloche vers la voie de la sagesse. Le soulagement que j'en ai éprouvé, suite à cette décision, m'a grandement aidé à passer le temps qu'il me restait à travailler dans ma fonction professionnelle.
J'ai cloué le bec à Humour Noir dans ma rue Marre de chez Marre et...Humour Noir dans ma rue Marre de chez Marre a accepté de vous donner les meilleurs conseils pour survivre à un changement d'activités, de vie, d'organisation, de statut professionnel, social... et encore plus...je l'ai eu au chantage (soit tu causes, soit je te dénonce pour publicité mensongère, enfin bref, je lui ai foutu la frousse... faut dire qu'il avait le couteau sous la gorge, j'étais prête à lui trancher l'artère, je ne plaisante pas) : d'accord, répondit Humour Noir de ma rue Marre de chez Marre, je m'aligne, il était aussi blême, autant que son habit pouvait être noir, habit qu'il portait tous les jours. Euréka, j'avais gagné ! Gagné ? Ne nous endormons pas sur nos lauriers... La suite arrive dans le prochain article. Merci de tout cœur pour vos réactions.