Ainsi l’être libre ne cherche fortune,
A quoi bon le plein de pognon quand on connaît la valeur de son pardon,
Quand son cœur déclame les mots nobles de leur racine divine,
Cet être connaît sa richesse,
Lui cupide qu’en sagesse vit forte et humble allégresse,
Jouit de tant de certitudes en sa luxueuse plénitude,
Ainsi l’être libre dévoile la fortune de son amour en ses jours,
L’ample félicité de son éternelle vérité.