- Pour rétablir la justice, dit Winter en se levant. Pour amener la paix sur terre. Pour nous délivrer du mal. Pour nous apprendre à nous aimer les uns les autres." p. 234
Winter rôde autour du lieu du drame, cette maison du bout du monde, s'en éloignant pour mieux y revenir, à la fois dépité et fasciné par ce lieu à part...
Ce que j'ai moins aimé : Le meurtrier était bien celui que je suspectais depuis le début.
En conclusion : La maison du bout du monde est plus un roman d'atmosphère qu'un roman que l'on lit pour le suspens ou la résolution de l'intrigue. Il offre une peinture très juste de la Suède, entre montée du racisme ordinaire et douceur de vivre.
La maison du bout du monde, Ake Edwardson, Traduit du suédois par Rémi Cassaigne, Jc Lattès, septembre 2015, 450 p. 21.50 euros