Ta mémoire s’évade de ce temps compté,
Elle précède ton vrai départ vers cet ailleurs,
Vers ton éternel bonheur,
Es-tu déjà de ton enfance,des premiers pas sur le chemin de l’espérance,
Quand tu souriais sans doute et sans peur,
Quand tu aimais de tout ton cœur,
Quand ton innocence exultait tout le vrai de ta conscience,
Tu retrouves ce passé toi qui n’es plus de ce présent,
Si grande sera ta joie quand les images de toutes tes saisons auront retrouvé ta raison,
L’éternité de tes souvenirs.