Fiscalement, le bon sens populaire ne s’explique pas que l’économie réelle se tarisse inexorablement au profit d’une économie spéculative, (très vite remise de ses deux « overdoses » successives) et qui continue de saigner les budgets des états en assurant des bénéfices défiscalisés de plus en plus colossaux à ses actionnaires de l’ombre pendant que 99% de la population paye ou revend sa maison…Economiquement, le bon sens populaire ne s’explique pas que les industries n’aient d’autre alternative que de réduire leurs coûts et donc d’autres choix pour rester dans la course internationale que de produire ailleurs ou de faire venir des travailleurs détachés en France… Démocratiquement, le bon sens populaire ne s’explique que les politiques nationales, successives amenées au pouvoir par voie démocratique n’aient finalement aucune autres alternative que de suivre le chemin tout tracé par l’union européenne et sa commission, aux antipodes de l’idéal démocratique, en complète conformité avec les idéaux libéraux des épiciers de la planète…Dans le domaine de la santé, le bon sens populaire ne s’explique pas qu’au bout de sept année de travail, les commissions européennes ne soient toujours pas parvenues à établir des critères qui définissent avec précision les perturbateurs endocriniens… rendant impossible l’établissement d’un législation qui protège les populations… En France la "gauche"veut faire passer en force une loi qui institutionnalise la démission du salarié devant l'impérieuse nécessité de la loi du marché…
Les gens sont debout et c'est plutôt un bon signe ! Ils veulent faire savoir leur volonté, ils veulent redevenir les acteurs d'un système qui leur échappe, d'une démocratie qui devient un lieu malsain de jeux d'intérêts mais jamais des siens.