Le lire en anglais permet d’être au plus près du texte, et l’anglais m’a paru une langue presque lyophilisée en comparaison du français, comme si elle était plus cursive, plus claquante, ce qui explique que le rock ne puisse être traduit. C’est un livre qui ressemble comme un frère à ceux de Houellebecq, la vraie vie, avec ses doutes, ses impressions sèches, sans idéalisme sur le monde du travail et les relations avec les autres.