Que s’élèvent nos êtres,qu’ils voient ce monde en hauteur,
Si grande sera leur joie au-dessus des couleurs,
En vrai retrouveront-ils leur originel bonheur,
Celui du temps qui ignore les jours,
De leur amour en toute son évidence,en toute sa divinité,
En tous ses secrets alors dévoilés,
Que s’élèvent nos êtres hors de cet unique paraître,
Qu’ils libèrent leurs consciences en mal d’espérance,
Tôt rencontreront-elles l’éminente,l’essentielle connaissance.