En ce 18 Mai la mythique salle de l’Aéronef de Lille accueille pour la troisième fois de son histoire les non moins mythiques Dandy Warhols pour la promotion de leur dernier opus Distortland.
Happyness, à mi-chemin entre Grandaddy, MGMT et Pavement
C’est le groupe Happyness qui ouvre la soirée. Le jeune groupe londonien composé de 4 membres propose un rock à mi-chemin entre Grandaddy, MGMT et Pavement. Une sympathique première partie de 25 minutes ni mauvaise ni franchement emballante.
Un groupe peu communicatif
C’est au tour des Dandy d’entrer sur scène dans un décors très sobre avec l’hypnotique classique Be-In avec lequel le groupe a l’habitude d’ouvrir ses concerts depuis maintenant plusieurs années. Les Warhols enchainent avec des titres variés parcourant toute leur carrière. Après d’anciens morceaux comme Get Off et Croack Cocaine Rager, le groupe nous présente Pope Reverend Jim et STYGGO émanant de leur dernier album. Ces premiers moments du concert sont plaisant mais un soucis se pose sur la voix de Courtney Taylor à la fois difficilement audible et à la limite de la justesse. Problème récurent sur les prestations live du groupe toujours aussi peu communicatif avec son public. Le concert se poursuit avec le très beau I Love You, The Last High et Plan A ou Zia McCabe se décide de délaisser son clavier KORG pour enfin jouer sur une vraie basse…
Tubes à la pelle
La suite du concert laisse à nouveau la place à des morceaux du dernier et avant-dernier album. Le groupe joue bien et le set est assez cohérent. Vont s’en suivre une série de tubes à la pelle qui annonce la proche fin du concert. Mais quelle fin! Tout en crescendo. Sont joué Good Morning, Not If You Were The Last Junkie On Earth, We Used To Be Friends, Bohemian Like You, Godless pour finir sur un Boys Better d’anthologie introduit par l’instrumentale Pete International Airport.
Le groupe quitte la scène à l’exception de Zia qui bidouille durant 3 minutes son clavier d’où sortiront d’étranges bruits qui seront les dernières notes de la soirée. Doit-on s’attendre à voir revenir le groupe pour quelques titres en plus? Non apparemment pour la bande à Courtney, «encore is so passé…».
En ce 18 Mai la mythique salle de l’Aéronef de Lille accueille pour la troisième fois de son histoire les non moins mythiques Dandy Warhols pour la promotion de leur dernier opus Distortland.
Happyness, à mi-chemin entre Grandaddy, MGMT et Pavement
C’est le groupe Happyness qui ouvre la soirée. Le jeune groupe londonien composé de 4 membres propose un rock à mi-chemin entre Grandaddy, MGMT et Pavement. Une sympathique première partie de 25 minutes ni mauvaise ni franchement emballante.
Un groupe peu communicatif
C’est au tour des Dandy d’entrer sur scène dans un décors très sobre avec l’hypnotique classique Be-In avec lequel le groupe a l’habitude d’ouvrir ses concerts depuis maintenant plusieurs années. Les Warhols enchainent avec des titres variés parcourant toute leur carrière. Après d’anciens morceaux comme Get Off et Croack Cocaine Rager, le groupe nous présente Pope Reverend Jim et STYGGO émanant de leur dernier album. Ces premiers moments du concert sont plaisant mais un soucis se pose sur la voix de Courtney Taylor à la fois difficilement audible et à la limite de la justesse. Problème récurent sur les prestations live du groupe toujours aussi peu communicatif avec son public. Le concert se poursuit avec le très beau I Love You, The Last High et Plan A ou Zia McCabe se décide de délaisser son clavier KORG pour enfin jouer sur une vraie basse…
Tubes à la pelle
La suite du concert laisse à nouveau la place à des morceaux du dernier et avant-dernier album. Le groupe joue bien et le set est assez cohérent. Vont s’en suivre une série de tubes à la pelle qui annonce la proche fin du concert. Mais quelle fin! Tout en crescendo. Sont joué Good Morning, Not If You Were The Last Junkie On Earth, We Used To Be Friends, Bohemian Like You, Godless pour finir sur un Boys Better d’anthologie introduit par l’instrumentale Pete International Airport.
Le groupe quitte la scène à l’exception de Zia qui bidouille durant 3 minutes son clavier d’où sortiront d’étranges bruits qui seront les dernières notes de la soirée. Doit-on s’attendre à voir revenir le groupe pour quelques titres en plus? Non apparemment pour la bande à Courtney, «encore is so passé…».
Les Dandy Warhols nous auront offert ce soir un concert correct, très sympathique mais qui n’était pas immanquable et encore moins mémorable. Le gros point noir des prestations du groupe : la voix de Taylor mais la série de tubes joués et la qualité des compositions les plus récentes compensent. Il ne nous reste plus qu’à comparer cette prestation avec celle de leurs rivaux du Brian Jonestown Massacre dans quelques semaines au même endroit. See ya there!
François Delporte
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