de François Désagnat.
On ne va pas parler ici du drame social de l’isolement des personnes âgées, des affres du veuvage ou des étudiants SDF obligés de se prostituer pour vivre. On a simplement quatre personnes aux caractères antinomiques qui tentent de cohabiter. Là où on aurait pu s’attendre à un Tatie Danielle au masculin, on se retrouve plutôt avec le contraire – un bonhomme quelque peu renfrogné qui voit sa vie bousculée par trois olibrius pas méchants, mais quelque peu… envahissant.
Bref une comédie rafraîchissante qui fait du bien par où elle passe.