Deuxième round du Giec. Cette fois-ci l’accord a été plus difficile à obtenir entre les experts. Logique, en février, ils ne parlaient que de science. Conclure que le réchauffement est à 90% dû à l’activité humaine et que les températures vont augmenter de 1,8 à 4°C n’implique rien de stratégique. Alors que cette fois-ci, il s’agissait de se mettre d’accord sur les impacts de ce réchauffement. Et là, les intérêts des puissants repris le dessus, avec des tentatives de dilution des conclusions.