Ca y est, je suis de retour, après quasiment une semaine d'absence ! Très honnêtement, avec ce week-end de 3 jours passé à la montagne pour l'EVJF de ma meilleure amie, je n'ai pas vu passer ces journées sans bloguer, mais je reviens pleine d'idées et de motivation, d'autant que je reçois pas mal de mails très cool pour ma Ptite Bulle. Mais chut ! Je n'en dis pas plus, je partagerai tout ça avec vous en temps utile ;) En attendant, voyons ensemble ce qu'il y a de cool dans le Grazia de la semaine ;)
1. Pour commencer, l'actrice marocaine Loubna Abidar revient sur le cauchemar que lui fait vivre son propre pays : après avoir joué une prostituée dans Much Loved (acclamé à Cannes l'an dernier), ses compatriotes la haïssent, certains l'ont même séquestrée et frappé, sans que le roi ne daigne prendre sa défense. Elle raconte son histoire dans son livre La Dangereuse, qui sort aujourd'hui. Elle vit aujourd'hui en France, sa famille va la suivre et elle garde une certaine bienveillance à l'égard des marocains et des marocaines, mais tout de même, tout ça, c'est très dur...2. Grazia met en lumière quelque chose que je ne savais pas : Michelle Obama et Hillary Clinton se détesteraient franchement. Elles restent cordiales et arborent même un sourire forcé en cette période électorale (les Obama voulant que la présidence reste entre les mains du parti démocrate, et Hillary a grand besoin de leur popularité) mais Michelle garde les attaques d'Hillary à l'égard de son mari en 2008 vraiment en travers de la gorge. Ouch ! 3. L'actrice Virginie Efira donne une longue interview à Grazia : elle parle de son film Un Homme A La Hauteur avec Jean Dujardin, mais aussi de Elle de Paul Verhoeven et de Victoria de Justine Triet, qui seront tout deux présentés à Cannes. Elle évoque aussi son côté pulpeux, sexy, en rappelant qu'elle ne joue pas forcément "de manière sexuée" et revient sur son parcours, très atypique, puisqu'elle vient de la télévision (elle présentait La Nouvelle Star quand même !) qu'elle aime, parce qu'il est le sien. Elle dégage en tout cas une confiance en elle rassurante, qui n'a rien à voir avec la vantardise ou quoi et, quand on sait que l'interview s'est passée de manière très chaleureuse dans son propre appartement, en prenant son temps, c'est encore plus chouette :)
1. Lumière tout d'abord sur le très joli projet de Ken Wong Youk-Hong, qui a décidé de prendre son appareil photo pour décloisonner les univers, de ceux qui dorment dedans et ceux qui dorment dehors. Ce bordelais, qui a grandi dans une grande mixité culturelle, veut rappeler que les SDF sont des personnes normales et que nous ne devons pas l'oublier. En tout cas, sa démarche et ces portraits sont hyper touchants, notamment ceux qui montrent l'amour partagé entre un chien et son maître SDF, ça m'a beaucoup émue. Son travail est exposé jusqu'au 27 mai à Caudéran, puis à Soulac et vous pouvez aussi le découvrir dans son livre Comme Une Ombre dans la Ville, dont les droits d'auteur sont reversés à l'association 1000 Coeurs d'Enfants. 2. Autre combat, celui de Sylvain Cormier, qui a importé The Innocence Project en France : aux Etats Unis, cette association se bat pour lutter contre les erreurs judiciaires. Sylvain se bat donc contre le système et les incohérences de certains jugements rendus, pour défendre ceux que le droit a condamné à tort. Bravo à lui ! Pour en savoir plus, regardez 13ème Rue, qui diffuse un documentaire sur The Innocence Project, le dimanche soir, jusqu'au 5 juin ;) 3. Jamais 2 sans 3, puisqu'on parle maintenant de la guerre que mène Nelida Ayay Chilon : cette péruvienne fait tout son possible pour empêcher Yanacocha, une entreprise pilotée par des Américains, d'exploiter une mine d'or et de pierres précieuses baptisée Conga. Pourquoi ? Tout simplement parce que cela lamine la montagne, la nature mais aussi parce que l'extraction d'or est la cause de la contamination de l'eau, qui devient chargée en métaux lourds. Le projet est aujourd'hui suspendu, grâce à Nelida, qui soutient celles et ceux que Yanacocha veut exproprier pour perforer leur terrain, mais qui réussit aussi à mobiliser les foules, les poussant à manifester dans les rues de Lima. Tout simplement admirable :)
La rédaction nous livre un très beau portrait de Claudie Pierlot : née dans une famille plutôt aisée et déjà dans le milieu de la couture, la jeune femme, qui en ras a le bol de la mode des années 80 a envie de proposer une version plus simple et douce de la femme, plus bohème parfois aussi. Elle lance sa marque en 1984, seule, sans l'aide de ses parents et après avoir fréquenté les hippies et s'être rendue en Inde, moins touristique qu'aujourd'hui. Connue pour être "un rayon de soleil humain", Claudie Pierlot a réussi à proposer des silhouettes confortables, faites pour celles qui font plein de choses en même temps, mais toujours féminines et irrésistibles. Et bien qu'elle ait disparu il y a quelques années des suites d'une maladie, son esprit demeure, grâce au talent de Vanessa Pierrat, D.A de l'entreprise. Et bien, franchement, ce dossier m'a donné envie d'acheter du Claudie Pierlot, tellement cette griffe véhicule, grâce à sa fondatrice, plein d'ondes positives ! #ouijesuisfaible
1. Côté beauté, Grazia commence par nous parler des nouveaux gestes beauté que l'on pourrait bien adopter cet été ! On devrait donc se parfumer à l'huile, apprendre à renforcer notre dos, boire de la tisane pétillante, appliquer de la BB crème sur notre corps tout entier :) 2. Dans son abécédaire des bons plans du web, le magazine partage avec nous plein de sites et d'applications plutôt cools pour prendre soin de soi, comme Stopjetlag.com, qui nous explique, en fonction de notre voyage, comment ne pas trop souffrir du décalage horaire ou OuiRun, l'application qui nous permet de trouver des partenaires de running qui ont le même niveau de course que nous.
Je vous souhaite une très jolie journée ! Et n'hésitez pas à me faire vos retours et partager vos impressions en commentaires ;)
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