Pour l’euthanasie du #PS

Publié le 14 mai 2016 par Mister Gdec

En politique comme aillleurs, militons pour le droit de ce parti  à mourir dans la dignité…

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Cela n’a que trop duré. La supercherie, que dis-je, l’escroquerie politique que constitue le parti qui se prévaut abusivement du glorieux titre de socialiste doit être définitivement abolie. Je me prononce pour son euthanasie, tant il est de toute façon en situation de mort clinique depuis bien trop longtemps. A trop faire preuve de pusillanimité en songeant aux futures échéances électorales pour ne pas précipiter sa chute,  on retarde l’inéluctable, on prolonge artificiellement la vie de ce grands corps malade à la renverse. Abrégeons leurs souffrances, c’en devient insupportable.  La dernière pantalonnade de la loi travail est la goutte d’eau qui fait déborder le vase de Soissons dont on sait maintenant très clairement qui l’a cassé : Valls et sa meute libérale sarcastique sécuritaire. Les dernières traces de gauchitude que certains pensaient encore trouver chez les guignols frondeurs ou les marionnettes d’Aubry ne font plus illusion. Cette dernière aurait mieux fait de se taire plutôt que de nous affliger ce spectacle pathétique de tant de tartufferie en prétendant refuser le recours au 49.3 tout en téléguidant ses troupes (de plus en plus rachitiques…) pour qu’elles ne votent pas la motion de censure dite « de gauche » contre la loi travail, suprême hypocrisie qui signe le manque de courage et de fidélité aux valeurs de gauche de ces gens là. Leur passivité est nocive pour tout un peuple qui souffre. Quant aux frondeurs, cette ridicule caution morale de gauche qui ne fait plus illusion qu’auprès des pigeons et des gogos, inutile de s’y attarder. A chaque occasion qui leur a été donnée, ils n’ont pas eu le courage, en actes, de leurs beaux discours. Aussi, le moment est venu de prononcer la seule sentence qui leur vaille : la dissolution. Si ce n’est maintenant, ce sera demain. Se reporter à l ‘après 2017 n’est qu’un signe supplémentaire de procrastination, ennemi héréditaire de l’action, moteur de l’évolution.  Ce parti est déjà mort.