⭐ Scavenger Zoïd- tome 1 de Paul Stewart et Chris Riddell
Nombre de pages : 267 pages
Editeur : Milan
Date de sortie : 13 Avril 2016
Collection : MIL.FIC.HOR.COL
Langue : Français
ISBN-10: 2745972405
ISBN-13: 9782745972408
Prix Editeur : 13,90€
Disponible sur Liseuse : OuiSon résumé :
« Pour les zoïds, les humains sont de la vermine. Ils voudraient nous effacer du paysage. Mais ça n’a pas toujours été comme ça. A l’époque du lancement, les robots étaient à notre service. Et puis, quelque chose a changé chez eux, ils sont devenus des zoïds meurtriers. Ce sont eux les maîtres, et nous sommes leur gibier. »
York est un scavenger. Il combat les zoïds, c’est sa mission. Quand ces robots lancent une attaque-surprise contre les humains, York parvient à leur échapper. Mais il doit fuir, se cacher. Seul. Dans une inextricable forêt de métal, privé d’amis et de repères, York devient la proie.
Mon avis :
La première fois que j’ai tourné les pages de ce roman, j’ai été surprise par le nombre assez important d’illustrations qui côtoient le texte. Il y en a presque une à chaque page. Et donc, elles donnent un bon aperçu de l’univers créé par l’auteur, mais aussi m’a fait me rendre compte que l’histoire de ce premier tome est assez courte.
Nous suivons le personnage de York, scavenger de quatorze ans dans son quotidien dans la biosphère au sein d’une petite communauté humaine – mais loin d’être la seule – située dans une des deux forêts de tubes et nommée l’arrière-poste. Comme chaque jour, il traque un Zoïd, robot apparut après la rébellion des machines. Les scavengers ne s’attaquent principalement qu’aux robots de maintenance car les Zoïds tueurs sont beaucoup plus durs à battre et sont en constante évolution afin d’éliminer tout humain de la biosphère.
Ce livre fut une très bonne découverte pour moi. Je ne lis que peu de romans de type science-fiction car j’ai l’impression que c’est toujours le même thème qui est abordé. Mais ici, il y a une pointe d’originalité. A commencer par les Mi-vies, des poupées russes en verre noir où est présente la mémoire des anciens habitants humains guidant les survivants, jouant le rôle d’encyclopédie universelle et d’alarme en cas d’attaque des Zoïds. C’est là que j’ai apprécié à sa juste valeur les illustrations car grâce à elles, on se fait une très bonne idée du paysage de la biosphère loin d’être idyllique et des personnages que l’on rencontre tout au long de l’histoire.
Concernant les personnages, j’ai trouvé York sympathique et courageux. Après l’attaque des Zoïds, il part à la recherche de ses amis alors qu’il est tout seul. Il garde espoir et a un bon instinct. Bien que l’on ne voie le personnage de Lina qu’au tout début et fin de l’histoire, son comportement m’a fait lever les yeux au ciel, sa jalousie mal placée m’a énervée. Dek est assez passif, c’est dommage car il aurait pu avoir un rôle plus important dans l’histoire à mon avis. Quant au personnage de Belle, j’hésite encore car elle a l’air d’être de bonne foi, mais qui sait ce que l’auteur va faire d’elle dans le futur. Concernant l’univers écrit et dessiné, on l’a en partie aperçu, c’est un monde qui fait froid dans le dos et je n’aimerais pas habité pour tout l’or du monde. Il reste néanmoins encore un morceau à découvrir, peut-être dans le prochain tome.
Pour finir, ce premier tome a été une jolie découverte. Je l’ai lu presque d’une traite. Un univers intéressant et bien développé.
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⭐ Scavenger Zoïd- tome 1 de Paul Stewart et Chris Riddell
Nombre de pages : 267 pages
Editeur : Milan
Date de sortie : 13 Avril 2016
Collection : MIL.FIC.HOR.COL
Langue : Français
ISBN-10: 2745972405
ISBN-13: 9782745972408
Prix Editeur : 13,90€
Disponible sur Liseuse : OuiSon résumé :
« Pour les zoïds, les humains sont de la vermine. Ils voudraient nous effacer du paysage. Mais ça n’a pas toujours été comme ça. A l’époque du lancement, les robots étaient à notre service. Et puis, quelque chose a changé chez eux, ils sont devenus des zoïds meurtriers. Ce sont eux les maîtres, et nous sommes leur gibier. »
York est un scavenger. Il combat les zoïds, c’est sa mission. Quand ces robots lancent une attaque-surprise contre les humains, York parvient à leur échapper. Mais il doit fuir, se cacher. Seul. Dans une inextricable forêt de métal, privé d’amis et de repères, York devient la proie.
Mon avis :
La première fois que j’ai tourné les pages de ce roman, j’ai été surprise par le nombre assez important d’illustrations qui côtoient le texte. Il y en a presque une à chaque page. Et donc, elles donnent un bon aperçu de l’univers créé par l’auteur, mais aussi m’a fait me rendre compte que l’histoire de ce premier tome est assez courte.
Nous suivons le personnage de York, scavenger de quatorze ans dans son quotidien dans la biosphère au sein d’une petite communauté humaine – mais loin d’être la seule – située dans une des deux forêts de tubes et nommée l’arrière-poste. Comme chaque jour, il traque un Zoïd, robot apparut après la rébellion des machines. Les scavengers ne s’attaquent principalement qu’aux robots de maintenance car les Zoïds tueurs sont beaucoup plus durs à battre et sont en constante évolution afin d’éliminer tout humain de la biosphère.
Ce livre fut une très bonne découverte pour moi. Je ne lis que peu de romans de type science-fiction car j’ai l’impression que c’est toujours le même thème qui est abordé. Mais ici, il y a une pointe d’originalité. A commencer par les Mi-vies, des poupées russes en verre noir où est présente la mémoire des anciens habitants humains guidant les survivants, jouant le rôle d’encyclopédie universelle et d’alarme en cas d’attaque des Zoïds. C’est là que j’ai apprécié à sa juste valeur les illustrations car grâce à elles, on se fait une très bonne idée du paysage de la biosphère loin d’être idyllique et des personnages que l’on rencontre tout au long de l’histoire.
Concernant les personnages, j’ai trouvé York sympathique et courageux. Après l’attaque des Zoïds, il part à la recherche de ses amis alors qu’il est tout seul. Il garde espoir et a un bon instinct. Bien que l’on ne voie le personnage de Lina qu’au tout début et fin de l’histoire, son comportement m’a fait lever les yeux au ciel, sa jalousie mal placée m’a énervée. Dek est assez passif, c’est dommage car il aurait pu avoir un rôle plus important dans l’histoire à mon avis. Quant au personnage de Belle, j’hésite encore car elle a l’air d’être de bonne foi, mais qui sait ce que l’auteur va faire d’elle dans le futur. Concernant l’univers écrit et dessiné, on l’a en partie aperçu, c’est un monde qui fait froid dans le dos et je n’aimerais pas habité pour tout l’or du monde. Il reste néanmoins encore un morceau à découvrir, peut-être dans le prochain tome.