Deux choses me frappent :
- On disait que les gouvernements de gauche savaient faire passer des réformes de droite, puisqu'ils maîtrisaient les mouvements contestataires. (cf. Blair.) Ce n'est plus le cas.
- On refuse cette loi, d'après ce que j'entends, non parce qu'elle n'est pas dans l'intérêt général, mais parce qu'elle n'est "pas de gauche". Ce qui semble sous-entendre, que le bon fonctionnement d'une démocratie est l'affrontement entre des idéologies opposées, plutôt que la recherche d'un bien commun.