A en croire les photos, on pourrait imaginer que j'ai bullé. Or, mon nouveau groupe est arrivé, j'ai stressé comme pour une nouvelle rentrée. Au-delà de l'appréhension de reprendre place sur les bancs de la formation pour ces dames préparant le concours d'AES, c'est aussi les aider à lâcher prise et accepter qu'elles vont pouvoir réussir, à condition qu'elles y croient.
Bref, cela me demande beaucoup d'énergie mais c'est très positif car je me mets sans doute autant la pression qu'elles-mêmes : je veux qu'elles réussissent !
Pas une heure de creux, des soirées studieuses, heureusement la semaine qui s'annonce sera très courte.
Le dimanche, jusqu'en avril, la médiathèque est ouverte. Nous y sommes tous les trois comme à la maison...
Voilà, je suis aussi une utilisatrice de pomme.
Dénicher des fautes, une seconde nature
Un air de printemps et il est temps... Je reçois un très beau et gros colis de la part d'une ancienne stagiaire
Le jour où je le coiffe il décide de ne plus enlever sa casquette. Maman me fait un cadeau vintage, elle renonce car ne parvient pas à réussir ses gaufres (message à l'intéressée, moi j'y suis arrivée!)
Au petit matin, on échange des grimaces avec les cousins australiens ! Je cuisine à la maison pour 100 et tout me parait disproportionné. Ensuite il faut distribuer sous une pluie battante et un vent polaire.
Armés de sacs poubelles, nous trions les déchets pour rendre notre plage plus propre, une belle initiative d'un groupe de jeunes.
Le rythme n'est pas moins dense, même si contrairement à hier, c'est au bout de la rue qu'Octave participe à un tournoi d'échecs. Le soleil est là et je sieste dehors, sur une chaise longue.
Les autres sont ici et demain on se demandera ce qu'il restera de moi, vous, nous.