The book of Ivy d’Amy Engel

Par Deedoux
Westfall, petite ville des Etats-Unis.
Ivy est une des survivantes d’une guerre nucléaire qui a décimé la population.
La ville est coupée en deux, d’un côté une poignée d’hommes et de femmes répond à une famille, de l’autre côté, à une autre. Les vainqueurs et les perdants s’affrontent au quotidien.
Chaque année, une grande cérémonie est organisée pour marier les jeunes adultes des deux clans.
Ivy sait qu’elle va devoir épouser Bishop, le fils du Président, du clan des vainqueurs.
Derrière cette union, la famille d’Ivy voit l’occasion rêvée d’éliminer le clan opposé…
Un livre que je n’aurai pas lu sans qu’une de mes collègues m’y incite en laissant un avis positif sur un site Internet et qu’une amie me convainc définitivement sur son blog.
Et bien, soyons honnête, j’ai passé un bon moment avec ce premier tome (deux déjà  édités).
Oui, oui, vous avez bien lu. Je me suis laissée mener par l’écriture simple de ce premier volume qui nous fait entrer dans un univers propre à la dystopie (=la dystopie s’oppose à l’utopie : au lieu de présenter un monde parfait, la dystopie propose le pire qui soit, source Babelio) et qui nous donne envie de lire la suite.
Oui, certains diront que c’est un peu cousu de fil blanc.
Bon, ok, oui, un peu, ne nous le cachons pas. Mais c’est une bonne lecture qui nous fait réfléchir sur les apparences et l’instinct de survie.

The book of Ivy, Tome 1, Amy Engel, Lumen, 2015